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28 juin 2012 4 28 /06 /juin /2012 21:18

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28 juin 2012 4 28 /06 /juin /2012 12:45

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29 mai 2012 2 29 /05 /mai /2012 18:41

Apparemment la RFID passe à la vitesse supérieur. 

 

Vu sur on va sortir:

Warner lance la 1ère enquête interactive RFID au monde.

 

 

Reportage sur la RFID à la RTBF (Question à la une):

 

 
STOP RFID NextUp.org 
Interview de Aaron Russo dans la quelle il parle des projets de puce de David Rockefeller:
Partie 1:
     
Partie 2:
   

 

 

MAJ Pour la puce obligatoire en 2013, c'etait apparemment faux.

 

illuminati_code_barre.jpg

 

C’est confirmé, le Projet de Loi sur la santé d’Obama, rendra obligatoire l’implantation d’une puce RFID pour tous les Américains.

Objectif : créer un registre national d’identification pour permettre un « meilleur suivi des patients en ayant toutes les informations relatives à leur santé ». Le nouveau projet de Loi relatif aux soins de santé (référencé HR 3200), qui a dernièrement été adopté par le congrès, contient (à la page 1001 du projet) l’exigence selon laquelle tous les citoyens qui en dépendent (du système de santé) devront être « identifié » par l’implantation d’une puce sous-cutanée. En fait, cela était prévu depuis fin 2004, comme le prouve un document officiel de la FDA. Ce document de la FDA (Food and Drug Administration), daté du 10 décembre 2004 est intitulé Class II Special Guidance Document : Implantable Radiofrequency Transponder System for Patient identification and Health information (Document d’orientation spéciale de classe II : Système de Transpondeur implantable à Radiofréquence pour l’identification des Patients et les informations Relatives à la santé) (1).

Dès 2004, l’implantation d’une puce pour les « patients » contenant des « informations relatives à la santé » était donc déjà à l’étude. Dans le Projet de Loi intitulé America’s Affordable Health Choices Act of 2009 (Loi de 2009 concernant les choix de santé financièrement abordables de l’Amérique), on peut lire dans le paragraphe Subtitle C – National Medical Device Registre ( Sous-titre C – Registre nationale des Dispositifs Médicaux) qu’un fichier de toute personne ayant ou ayant eu un dispositif implanté dans le corps est prévu : « Le « Secretary » établira un « registre national des dispositifs médicaux » (appelé dans le présent paragraphe un « registre ») afin de faciliter l’analyse de la sécurité (des dispositifs) après la commercialisation et les résultats des données de chaque appareil qui (A) est ou a été utilisé dans ou sur un patient; et (B) est un appareil de classe III; ou (ii) un appareil de classe II qui est implantable… ».

Donc toutes les personnes ayant reçu la micro-puce seront répertoriées dans un nouveau fichier qui sera mis en place exprès puisqu’il n’existait pas auparavant.

Sous prétexte de mieux assurer les soins médicaux et de préserver la santé des individus, la population sera concrètement marquée avec une puce électronique et fichée. Un marquage obligatoire est prévu pour tous les Américains à partir de 2013.

A la page 1006 du projet, figure une précision sur la date d’entrée en vigueur du dispositif : « ENTREE EN VIGUEUR. – Le Ministre de la santé et des Services Sociaux mettra en place et commencera la mise en œuvre du registre en vertu de l’article 519(g) de la Loi fédérale sur la nourriture, les médicaments et les produits cosmétiques, comme cela a été ajouté à partir du paragraphe, pas plus tard que 36 mois après le date de promulgation de la présente Loi, sans égard au fait que les réglementations définitives pour établir et exploiter le Registre aient été promulguées ou non à partir de cette date ».

Par conséquent, trente-six mois à compter de la date de mise en place de la Loi ! Cela nous donne trois ans. Donc 2013 est l’année où le marquage obligatoire devrait commencer. On notera que cela entrera en vigueur même si aucune réglementation sur son usage n’a été adoptée. Qu’il y ait eu ou non un encadrement défini au préalable sur l’utilisation du « registre ».

Obama n’est pas le messie rêvé par les Américains qui l’ont introduit, mais un pantin docile, une marionnette obéissante qui œuvre pour assurer la mise en place d’un Nouvel Ordre Mondial. Si ce dispositif se réalise, la population fera l’objet d’une surveillance absolue.

 

Source : les Brèves de LIESI – Avril/Mai 2011, trouvé sur Alterinfo

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27 mai 2012 7 27 /05 /mai /2012 19:50

Premier coup:

D'après mes recherches les attentats du 11 septembre 2001 ont servi à justifier les guerres

(contre le terrorisme) en Afghanistan, Irak, Libye et dans les mois ou années qui viennent en Syrie et Iran.

Ces guerres étaient soi-disant à but humanitaire.

 

En utilisant la méthode libérale anglo-saxonne "Il n'y a pas d'alternative".

 

C'était surtout pour le gaz, le pétrole, le placement d'oléoducs, les entreprises de reconstruction, la mise

dans le système des banques centrales sous la banque des règlements internationaux (la banque des 

banques centrales) ou système de la dette.

 

En 2000 dans un rapport du PNAC (Project for a New American Century) ou projet pour un nouveau

siècle américain.

Le PNAC est proche du Cercle de l'Oratoire

Il y est écrit : "De plus,le processus de transformation, même s'il apportera un changement

révolutionnaire, sera probablement long en l'absence d'un évènement catastrophique

et catalyseur comme un nouveau Pearl Harbor".

 

On y trouve comme membres des néo-conservateurs :

George W. Bush, Dick Cheney, John Elis Bush, John Podhoretz rédacteur du New York Post,

Lewis Libby, Donald Rumsfeld, Paul Wolfowitz, Robert Kagan...

 

Les événements du 11 septembre 2001 se sont révélés en adéquation avec les propos du PNAC

pour mettre en pratique un idéal préparé depuis longtemps.

 

Extrait du livre de Pierre Hillard :" La marche irrésistible du nouvel ordre mondial."

 

Quelques vidéos sur le 11 Septembre 2001.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Vidéos sur les guerres post 11 septembre.

 

« Le Pouvoir des Cauchemars » (The Power of Nightmares) est un documentaire produit par la BBC qui s’applique à démontrer qu’Al-Qaida n’existe pas et que l’idée d’une menace terroriste globale est un pur fantasme. Un documentaire édifiant qui explique comment et pourquoi ce fantasme fut créé, qui en bénéficie, et pourquoi il résiste si bien à l’épreuve du temps.

 

 

25.10.11. Ce Soir Ou Jamais : "la peur des islamistes" en Libye et en Tunisie Frederic Taddei recoit Michel Collon, Vincent Geisser, Claude Hagege, Frédéric Encel( Cercle de l'Oratoire ), Xabi Molia, Bessora.

 

CSOJ - 22.05.12 - Les guerres de l'Otan 

Deuxième coup:

En utilisant le même procédé (un attentat financier), les oligarques et les banquiers en collusion

avec les gouvernements, ont mis les états dans des endettements impossibles à rembourser.

 

Trente ans de dette fabriquée de toutes pièces.

 

 

 

Citation d'Henri Ford: "L'unique objectif de ces financiers est le contrôle du monde par la création de dettes

inextinguibles."

 

L'oligarchie qui représente moins de 1% de la population mondiale, se compose principalement

des patrons des multinationales, des chefs d'état et des banquiers internationaux

( les Banques Rothschild de Londres et de Berlin, la Banque des Frères Lazard de Paris,

les Banques d’Israel Moses Sieff d’Italie, la  Banque Warburg  de Hambourg et d’Amsterdam,

la Banque des Frères Lehman de New York, la  Banque Kuhn Loeb de New York,

la  Banque Chase Manhattan de New York, la Banque Goldman Sachs de New York )

 

Toujours en utilisant la méthode libérale anglo-saxonne "Il n'y a pas d'alternative",

ils nous diront qu'il n'y a qu'une solution : faire un gouvernement mondial, une monnaie mondiale

éléctronique, un tribunal mondial... dirigés par ces 1%, donc un nouvel ordre mondial privé,

comme l'ont rêvé le colonel House dans son livre: "Philip Dru Administrator"

et H. G. Wells dans: "New world Order".

 

Un embryon de gouvernement mondial existe déjà.

 

Video sur le nouvel ordre mondial

 

 

 

 

Citations de David Rockefeller:

"Nous sommes à la veille d'une transformation globale. Tout ce dont nous avons besoin est la bonne crise majeure, et les nations vont accepter le Nouvel Ordre Mondial."

David Rockefeller

"Quelque chose doit remplacer les gouvernements, et le pouvoir privé me semble l'entité adéquate pour le faire."

David Rockefeller Interview dans Newseek en février 1999.

 

"Nous sommes reconnaissants au Washington Post, au New York Times, Time Magazine et d'autres grandes publications dont les directeurs ont assisté à nos réunions et respecté leurs promesses de discrétion depuis presque 40 ans. Il nous aurait été impossible de développer nos plans pour le monde si nous avions été assujettis à l'exposition publique durant toutes ces années. Mais le monde est maintenant plus sophistiqué et préparé à entrer dans un gouvernement mondial. La souveraineté supranationale d'une élite intellectuelle et de banquiers mondiaux est assurément préférable à l'autodétermination nationale pratiquée dans les siècles passés."

David Rockefeller Président et fondateur du Groupe de Bilderberg et de la Commission Trilatérale. Président du CFR. Propos tenus à la rénion du Groupe de Bilderberg à Baden Baden en 1991

 

David Rockefeller, né le 12 juin 1915 à New York, est un milliardaire, ancien président de la Chase Manhattan Bank, il dirige l'empire de sa famille, fondé à la fin du XIXe siècle par son grand-père John D. Rockefeller. Il est à l'initiative de la création de la Commission Trilatérale.

 

David Rockefeller est président non-exécutif du Rockefeller Center Properties Trust and RCP Holdings. Il est président honoraire de la Société des Amériques, de la Commission Trilatérale (fondateur et président honoraire)4, du Council on Foreign Relations et de l'Université Rockefeller. Il est aussi président de The Rockefeller University Council, ainsi que président émérite du Museum of Modern Art de New York. David Rockefeller a co-fondé le Groupe de Bilderberg en 1954 à l'Hôtel Bilderberg à Osterbeek à l'invitation du Prince Bernhard des Pays-Bas.

 

Page Wikipédia

 

Merci à Monsieur H. pour sa documentation et Madame U. pour la mise en forme du texte.

 

Texte de Philip Dru 

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14 mai 2012 1 14 /05 /mai /2012 13:21

 

 

Attention vidéo insupportable:

 

 

Lien sur les Skull & Bbones: http://www.nouvelordremondial.cc/skull-bones/

link

 

Ultime video sur le Nouvel Ordre Mondial


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14 mai 2012 1 14 /05 /mai /2012 11:47

 

Le « Cercle de l’Oratoire » est un think tank français atlantiste et néoconservateur fondé en 2001, à la suite des attentats du 11 septembre. Il se réunit dans une salle du temple protestant de la rue de l’Oratoire à Paris, d’où son nom.

Proche du PNAC (Project for a New American Century, le think tank néo-conservateur dont étaient issus les principaux membres de l’administration Bush), son but est de défendre la politique américaine auprès de l’opinion publique, le plus grand danger selon eux étant l’islamisme qu’ils qualifient « d’islamo-fascisme » ou de « fascisme vert ».

Le Cercle de l’Oratoire a bien entendu soutenu l’invasion de l’Irak, et il assimile clairement l’anti-sionisme à de l’antisémitisme.

Depuis 2006, il publie une revue intitulée « le meilleur des mondes » (éditée par les éditions Denoël).

Ses principaux membres sont:
- Michel Taubmann, directeur du service Info d’Arte-Paris
- Florence Taubmann, vice-présidente d’«Amitié judéo-chrétienne»
- Bernard Kouchner, ministre de gauche puis de droite, fondateur de Médecins du Monde
- Philippe Val, directeur de Charlie Hebdo, récemment nommé directeur de France Inter
- André Glucksmann, philosophe et essayiste
- Pascal Bruckner, essayiste
- Romain Goupil, cinéaste
- Olivier Rolin, écrivain
- Marc Weitzmann, écrivain
- Antoine Vitkine, journaliste pour Arte
- Élisabeth Schemla, fondatrice du site proche-orient.info
- Jean-Luc Mouton, directeur de l’hebdomadaire protestant Réforme
- Thérèse Delpech, directrice des affaires stratégiques au Commissariat à l’énergie atomique
- Antoine Basbous, directeur de l’Observatoire des pays arabes
- Frédéric Encel, géopoliticien, spécialiste du Proche-Orient
- Cécilia Gabizon, journaliste, spécialiste des questions de l’islam au Figaro
- Mohammed Abdi, secrétaire général de l’association « Ni Putes Ni Soumises »
- Jacky Mamou, ex-président de Médecins du Monde

D’autres personnalités n’en sont pas membres mais en sont néanmoins proches en soutenant des pétitions ou des meetings organisés par le Cercle de l’Oratoire. On peut citer notamment Bernard-Henri Lévy, Alexandre Adler, Guy Sorman, et Alain Finkielkraut.

Comme on le voit, le « Cercle » est constitué d’habitués des plateaux TV et du rayon politique/actualité des librairies, toujours là lorsqu’il s’agit de dire au « public » ce qu’il doit penser, tout particulièrement lorsqu’il s’agit des Etats-Unis, d’Israel, de l’Islam et du Proche-Orient en général…

On doit notamment aux gens du « Cercle » la diffusion sur Arte d’un pur documentaire de propagande contre ceux qui osent mettent en doute la thèse officielle du 11 septembre.

On y retrouve l’inévitable Alexandre Adler, ainsi que Philippe Val dans le débat qui avait suivi la diffusion…

Voici un démontage point par point des méthodes de désinformation utilisées dans ce ce documentaire:

 

 

 

 

Notes et références

  1. Jean Birnbaum, « "Le Meilleur des mondes", une voix pour l'Amérique », Le Monde, 24 mars 2006
  2. Libération, éditorial du 5 mai 2008, "Le Meilleur des mondes fait son mea culpa sur l’Irak"., disponible ici [archive]
  3. Son influence sur le traitement des attentats du 11 septembre 2001 par Arte a ainsi été critiquée: Olivier Mukuna mardi 4 octobre 2011, "11 septembre : faites entrer le journalisme !", http://www.agoravox.fr/actualites/medias/article/11-septembre-faites-entrer-le-101809 [archive].
  4. Libération, mardi 9 mai 2006, Éric Aeschimann, «(mise à jour du lien perso) Les meilleurs amis de l’Amérique [archive] »
  5. Jean Birnbaum, « Le Meilleur des mondes, une voix pour l'Amérique », Le Monde, 24 mars 2006

Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Cercle_de_l%27Oratoire

Source: http://www.nouvelordremondial.cc/2009/07/29/le-cercle-de-loratoire/  Lien: link

 

Article du journal Libération sur le cercle de l'Oratoire

 

Les meilleurs amis de l'Amérique

 

Eric AESCHIMANN 9 mai 2006 à 21:10

 

Depuis les manifestations contre l'intervention des Etats-Unis en Irak, des intellectuels français, révoltés par l'antiaméricanisme, ont fondé le Cercle de l'Oratoire. Inspirés par les néoconservateurs et pourfendeurs de l'islamisme radical, ils se réunissent à Paris dans un temple protestant.

 

En 1979, André Senik a enregistré un disque, Chants staliniens. Cela fait longtemps que l'ancien responsable de l'Union des étudiants communistes ne croit pas au «socialisme réel», mais il a envie de rigoler un peu. Il chante avec un copain, des amis font le choeur. Dedans, quelques perles, dont ce petit pamphlet de l'après-guerre, contre le président américain de l'époque : «Les Ricains en Amérique/Et la France en République/Coca-Cola ni whisky/La paix, messieurs les Yankees.» Ou encore : «Ecoutez-vous la radio française/C'est radio Truman qui ment/Dans tous ses mensonges, elle se vautre à l'aise/Pour la joie des banques new-yorkaises.» «On voulait montrer jusqu'où allait la connerie du stalinisme, mais comme on a fait ça très sérieusement, ça a même été vendu à la Fête de l'Humanité !» Près de deux décennies plus tard, à l'heure de l'Amérique de George W. Bush et de la guerre en Irak, André Senik ne rigole plus du tout : «Etre antiaméricain, c'est être antilibéral. C'est le même refus de la liberté que le nazisme ou le communisme.» Ni plus ni moins.

Professeur de philosophie à la retraite, André Senik fréquente une chapelle étonnante au coeur de Paris : le temple protestant de l'Oratoire. Dans une salle de l'ancienne église donnée par Napoléon aux réformés, se réunit depuis trois ans un groupe informel d'intellectuels et de journalistes, souvent issus de la gauche, mais partis en guerre contre l'antiaméricanisme. Des neo-cons à la française, ces partisans de la «guerre juste» ? «Je me vois comme une néoconservatrice de gauche (?)», confie, avec un brin de provocation, une jeune journaliste ­ qui souhaite garder l'anonymat ­ participant depuis le début aux réunions de l'Oratoire. «Les néoconservateurs américains ont été injustement critiqués et je partage certaines de leurs analyses. D'ailleurs, certains sont adhérents du Parti démocrate», ajoute Bruno Tertrais, expert en relations internationales et délégué au secrétariat international du PS. D'autres récusent le terme. Mais tous voudraient que les Français se montrent un peu plus chaleureux avec les cousins américains.

Un noyau dur de convictions

C'était le 14 septembre 2001. La France, comme d'autres pays, avait décrété trois minutes de silence en hommage aux morts des Twin Towers. «Ma femme a fait sonner les cloches du temple, et quand elle est sortie les gens marchaient, klaxonnaient, comme si de rien n'était, se souvient Michel Taubman, encore choqué. Une collègue journaliste est allée à la tour Montparnasse et elle a vu des gens faire des bras d'honneur.» Michel Taubman est journaliste à Arte ; Florence, sa femme, est la pasteure du temple de l'Oratoire. Les manifestations de mars 2003 contre la guerre en Irak ont redoublé leur indignation. «Même au sein de l'Eglise protestante, avec mes collègues pasteurs, il n'y avait plus de débat possible, confie Florence. On nous disait de manifester, de mettre des bougies. Quand je faisais part de mes interrogations, on me renvoyait une image de guerrière.»

C'est pour sortir de cet unanimisme que le couple Taubman a commencé à inviter des connaissances. La jeune journaliste : «J'étais à New York quand il y a eu les attentats. A l'époque, je militais à Attac. Mais, quand j'ai vu qu'Attac publiait un communiqué pour mettre en garde les Etats-Unis contre toute tentation de riposte, j'ai pensé qu'il y avait un problème. L'Oratoire m'a permis de parler librement de tout ça.» Le groupe prend forme peu à peu, avec des intellectuels installés (les philosophes André Glucksmann et Pierre-André Taguieff, l'essayiste Pascal Bruckner, l'universitaire Stéphane Courtois, coauteur du Livre noir du communisme, Jacky Mamou, ancien président de Médecins du monde (?), Kendal Nezan, président de l'Institut kurde de Paris...) mais aussi de jeunes journalistes, des étudiants. Des personnalités (Bernard Kouchner, Nicolas Baverez, Fadela Amara...) sont régulièrement invitées à débattre. Depuis ce printemps, le groupe publie sa propre revue, le Meilleur des mondes (lire l'encadré).

Si chacun a ses analyses, un noyau dur de convictions les unit, que Michel Taubman formule ainsi : «Les Américains ne sont pas nos ennemis. On peut les critiquer, mais on ne doit pas faire n'importe quoi avec eux. Moi, je m'inquiéterais de vivre dans un monde où l'Amérique serait affaiblie.» Stéphane Courtois : «Il peut être désagréable de penser que les Etats-Unis sont extrêmement puissants, mais c'est la réalité. Nous sommes actuellement dans une guerre mondiale et, vu l'état de l'armée française, la France pourrait avoir besoin d'eux un jour pour se défendre. Dans la vie, il ne faut pas se tromper d'ennemi.» Bruno Tertrais : «Il faut choisir son camp.» Le philosophe allemand Carl Schmitt affirmait que répondre aux deux questions «qui est mon ami ?» et «qui est mon ennemi ?» constitue l'essence de la politique. C'est bien ainsi que Michel Taubman voit le monde : «Notre point commun avec les neo-cons, c'est d'avoir le même ennemi : l'islamisme radical.»

Une obsession antitotalitaire

Car, sans surprise, les «anti-anti-Américains» vivent dans la hantise de l'islamisme, et parfois de l'islam tout court. «Je suis comme tout le monde, ce qui me vient de l'islam, ce sont des images de violence. J'essaie de garder un regard amical, mais c'est difficile», confie Florence Taubman. Dans la petite tribu de l'Oratoire, on parle beaucoup d'«islamo-fascisme», de «fascisme vert», de «totalitarisme islamique». Autant de dénominations choisies pour inscrire l'islamisme dans la lignée du nazisme et du communisme et montrer qu'une nouvelle fois les démocraties sont confrontées au mal absolu. Pour Stéphane Courtois, «nous sommes repartis pour un nouveau tour de totalitarisme». «Après le nazisme et le communisme, l'islamisme est la troisième tentative de détruire la liberté individuelle», juge André Sénik.

Difficile de ne pas voir dans cette analyse ­ quoi qu'on en pense sur le fond ­ la trace de l'expérience politique de ceux qui la formulent. Sénik et Courtois, communistes repentis, pourfendent depuis trois décennies les crimes du stalinisme. André Glucksmann, ancien maoïste (?), s'est rendu fameux en défendant les boat people. Michel Taubman a été formé chez les trotskistes (comme les néocons du P.N.AC. ?), tendance «pabliste», où l'on a toujours dénoncé le goulag. «Notre point commun à l'Oratoire, c'est l'antitotalitarisme», assure-t-il. Voilà l'équation posée : être anti-anti-Américain, c'est être anti-islamiste, donc antitotalitaire. CQFD. A une réserve près : et si l'envie de prolonger la posture antitotalitaire faisait voir dans Al-Qaeda et le terrorisme islamique non pas une grave menace et un risque majeur, mais la réincarnation du mal absolu ?

L'imprégnation gauchiste

Mais, experts de la région mis à part, la réalité du monde musulman n'est pas ce qui préoccupe le plus le club de l'Oratoire. Ni celle de l'Amérique d'ailleurs. Paradoxalement, la question centrale y est la France. Michel Taubman le reconnaît volontiers : «La question américaine est importante parce que c'est une question posée à la France.» Pascal Bruckner a souvent écrit sur le sujet. A ses yeux, «les Etats-Unis nous ont sauvés à trois reprises : en 1917, en 1944, puis pendant la guerre froide, et c'est là une dette difficile à supporter. C'est un problème, pour un peuple, de se dire qu'il ne s'est pas libéré par lui-même». Avec subtilité, Glucksmann devine dans l'antiaméricanisme l'esquisse d'un «isolationnisme français». C'est «un mal français», résume Michel Taubman et on sourit d'entendre un ancien gauchiste reprendre une expression dont Alain Peyrefitte, figure de la droite musclée des années 70, s'était servi en son temps comme titre d'un ouvrage tonitruant. Hasard. Mais peut-être, aussi, volonté de rupture avec une gauche qui, depuis trente ans, n'a cessé de se heurter à ses propres contradictions.

Au rayon de leurs ennemis, les «oratoriens» glissent facilement de l'islamisme à «l'islamo-gauchisme», puis au gauchisme tout court. Le sujet les rend intarissables. André Sénik : «Le gauchisme dépasse son poids électoral. Sur les plateaux télé, on voit en permanence que la gauche est sous pression de l'extrême gauche.» La droite aussi : on aurait pu croire que Dominique de Villepin, dans son fameux discours à l'ONU, avait tout bonnement repris la vieille ficelle gaullienne consistant à dénigrer l'Anglo-Saxon pour se rehausser soi-même. Non, pour Stéphane Courtois, il a été victime de «réflexes qui se rattachent directement à la propagande soviétique en France. Matraquer "US go home" pendant cinquante ans, ça laisse des traces». Même la vénérable Fédération protestante de France serait infiltrée : «Les pasteurs ne sont pas gauchistes, mais ils sont imprégnés d'une pensée gauchiste, assure Florence Taubman. Un certain gauchisme. C'est un peu impressionniste, c'est quelque chose dans l'air.»

Le prisme israélien

Pour étayer son propos, la pasteure déplore que les protestants aient pris l'habitude de donner systématiquement raison aux Palestiniens contre les Israéliens. L'exemple n'est pas fortuit, bien sûr. La question israélienne est la dernière grande préoccupation des «oratoriens». Si Florence Taubman a été élevée dans un milieu catholique avant de se convertir au protestantisme, son mari, lui, est juif, comme un bon nombre d'«oratoriens». «Parmi les choses qui nous ont frappés, il y a eu le 11 septembre 2001, mais aussi la deuxième Intifada, les actes antisémites en France», relève-t-il. André Sénik a son explication sur cette spécificité : «Les juifs qui ont été révolutionnaires sont plus sensibles au gauchisme anti-israélien et antiaméricain, car ils comprennent qu'il y a quelque chose qui les concerne directement.» Néanmoins, le prisme israélien n'empêche pas l'assemblée de compter aussi des musulmans, comme Mohammed Abdi, secrétaire général de l'association Ni putes ni soumises (?) : «J'ai manifesté contre la guerre en Irak, je suis propalestinien, mais je reconnais Israël et je pense qu'il faut avoir le courage de discuter avec le sionisme. Et puis, en tant que militant des banlieues, j'ai été très blessé par l'émergence de l'antisémitisme dans les quartiers.»

Jusqu'où iront les «anti-anti-Américains» ? Les sévices de la prison irakienne d'Abou Ghraib les ont profondément divisés. «Des à-côtés inévitables d'une guerre», juge Stéphane Courtois. Avec de telles méthodes, la guerre cesse d'être juste, a plaidé la philosophe Monique Canto-Sperber. La notion de «guerre juste» a été discutée longuement. Mais, à trop se laisser envoûter par les questions militaires, le groupe de l'Oratoire semble oublier de se demander ce que pourrait être un monde juste. Et une France juste. A l'occasion du CPE, les anciens clivages qu'ils affirment obsolètes ont resurgi. Un André Glucksmann (et d'autres) était radicalement contre ; un André Sénik (et d'autres) aurait voulu que Villepin tienne bon. Preuve que la politique ne saurait se réduire à la seule définition de «l'ennemi». Sauf dans les chants staliniens.

AESCHIMANN Eric

Les membres du PNAC

Source : Libération

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13 mai 2012 7 13 /05 /mai /2012 20:20

Le vrai visage du WWF et de son fondateur Julian Huxley frère de Aldous Huxley (Le meilleur des mondes).

Lien 1: http://fr.wikipedia.org/wiki/Julian_Huxley  link

Lien 2:http://www.wwf.be/fr/qui-sommes-nous/historique/774  link

Le pére de Julian Huxley Thomas Henry Huxley était le professeur de H. G. Wells qui a écrit le: (Nouvel ordre mondial). CQFD

 

 

Origines

Le Fonds mondial de la nature (à l'époque World Wild Life Fund) a été fondé en 1961 dans le but explicite de lever des fonds destinés à financer les activités de l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN). Celle-ci avait été créée en 1948 en Suisse, suivant des statuts rédigés par le Foreign Office britannique. Elle peut se targuer aujourd'hui d'être la plus grande organisation «professionelle» de conservation à l'échelle internationale, puisque y adhèrent 103 organismes gouvernementaux et plus de 640 ONG.

Sous prétexte de protéger la nature avec sa politique de «parcs naturels» — véritables enclaves coloniales dans lesquelles les indigènes n'ont pas le droit de rentrer — le WWF-UICN poursuit en réalité deux objectifs centraux : la réduction de la population mondiale, notamment dans les pays du Sud, et la concentration des matières premières du monde dans les mains de quelques multinationales, surtout anglo-hollandaises.

Depuis sa création, le WWF est dominé par le prince Philip, prince consort de la reine d'Angleterre Elisabeth ll. Que la monarchie britannique dirige le WWF ne doit pas nous étonner car, après tout, le WWF-UICN est la création de deux grandes institutions impériales du Royaume-Uni : la Société eugénique et la Société pour la préservation de la faune de l'Empire (aujourd'hui FFPS, Fédération pour la préservation de la faune et de la flore, sous le patronage de la reine) qui jeta les bases de la création de parcs naturels dans toute l'Afrique.

L'idéologie de ces institutions est très bien reflétée dans les idées du cofondateur du WWF-UICN, Sir Julian Huxley. Il était obsédé par l'explosion démographique, considéré par lui comme le «problème de notre ère». De 1937 A 1944, il fut vice-président de la Société eugénique et en était président au moment de fonder le WWF en 1961. Il était également vice-président du FFPS.

La philosophie de ces deux institutions, et par extension du WWF, a été inspirée par les idées de sir Francis Galton, qui inventa le terme « eugénisme ». Il essaya d'appliquer au domaine humain le concept de « la loi du plus fort », appelé «sélection naturelle » par son cousin Charles Darwin. L'objectif de son « Mouvement pour l'amélioration de la race » fut explicitement de « créer une nouvelle race supérieure, à l'aide de l'eugénisme », sous-entendu en « triant » les plus faibles.

Nommé premier directeur général de l'Unesco en 1946, Julian Huxley resta fidèle à ses idées eugéniques. Il écrivait dans le document fondateur :

« Même s'il est vrai qu'il sera impossible pour des raisons politiques et psychologiques de réaliser une politique eugénique radicale pour de nombreuses années, il est important que l'Unesco (...) fasse en sorte que l'opinion publique soit informée des enjeux afin que beaucoup de ce qui est impensable maintenant puisse devenir au moins pensable. »

Un gouvernement mondial était la solution selon Huxley, et la « conservation de la faune » devait constituer un moyen d'arriver à cette fin. Huxley affirmait que « la propagation de l'homme doit céder la place a la conservation d'autres espèces ».

En 1960, alors que de nombreux pays africains préparaient leur indépendance, Julian Huxley, alors âgé de 74 ans, fit une tournée de trois mois sur le continent noir pour expliquer que les nouvelles nations ne seraient pas capables de conserver la faune. Il fallait donc que quelqu'un d'autre s'y consacrât. Quelques mois plus tard, avec l'aide du prince Philip, le WWF fut créé.

Qui finance le WWF ?

Le Club 1001, fondé en 1971 pour financer le WWF, par le prince Bernhard des Pays-Bas, conjoint de la reine Juliana de la Maison d'Orange, est restreint tout moment à 1001 membres et seulement sur invitation. Le Club a fait don d'un immeuble dans la ville suisse de Gland, qui abrite actuellement le siège central du WWF et de l'Union mondiale pour la nature (UlCN). Les premiers membres ont été personnellement choisis par le prince Bernhard et le prince Philip, duc d'Edimbourg. Voici un choix de membres actuels et anciens du Club.

Le prince Bernhard des Pays-Bas. En 1934, à l'université de Berlin, Bernhard fut recruté par les services secrets nazis et ensuite affecté chez IG Farben (le géant de la chimie qui maintint des relations d'affaire avec les lndustries chimiques impériales de Grande-Bretagne pendant la guerre et produisit Zyklon-B pour les chambres à gaz). En raison de ses antécédents nazis, le mariage de Bernhard avec la reine Juliana créa un scandale aux Pays-Bas. En 1953, Bernhard fonda le groupe de Bilderberg, qui parraine chaque année une conférence secrète réunissant des représentants de l'élite "mondialiste" nord-américaine et européenne. Bernhard fut cofondateur du WWF en 1961. En 1976, lorsqu'il fut révélé qu'il avait accepté un pot-de-vin de 1,1 million de dollars de la part de la société Lockheed, il dut démissionner (formellement) de la direction générale du groupe de Bilderberg, du WWF international et du Club 1001.

  • Le prince Henrik (décédé), président du WWF au Danemark.
  • Le prince Juan Carlos fut membre fondateur et président d'honneur du WWF Espagne, avant de devenir roi d'Espagne.
  • Le prince Sadruddin Aga Kahn. Le titre « Altesse » lui fut conféré par la reine Elisabeth Il en 1957, alors qu'il était rédacteur de Paris Review, publication cofondée par John Train.
  • Le prince Johannes Von Thurn und Taxis (décédé). Héritier de l'une des plus puissantes «familles princières" du Saint Empire Romain Germanique. Sa famille possède d'énormes propriétés en Bavière, au Portugal, en Italie et au Brésil. Son père, Max, hébergea pendant longtemps le quartier général de l'Allgemeine SS dans son château de Ratisbonne en Bavière.
  • Bertold Beitz. Directeur de la Fondation Alfred Krupp Von Bohlen et Halbach. En 1953, il prit la direction de Krupp lndustries.
  • Conrad Black, P-DG de la société Hollinger, conglomérat de presse avec de nombreux journaux en Grande-Bretagne, au Canada, aux Etats-Unis, en Israël et en Australie. La Hollinger se nommait d'abord l'Argus Corporation et était issue après la Deuxième Guerre mondiale de la War Supplies Ltd, une société écran du renseignement britannique pendant le conflit. Empire de presse au service de la maison Windsor, Hollinger a pris la tête des campagnes de presse contre le président américain Bill Clinton.
  • Le baron Aubrey Buxton d'Alsa. Vice-président du WWF-Royaume-Uni. La famille Buxton dirige la Barclays Bank.
  • Peter Cadbury. Président des Preston Publications et du George Cadbury Trust. L'empire du chocolat des Cadbury a une influence dominante sur les économies d'Afrique occidentale.
  • Le Dr Luc Hoffmann. Vice-président du WWF-International et de l'UICN (1966-1969) ; directeur de Hoffmann-Laroche, la société pharmaceutique suisse.
  • Alexander King. Cofondateur avec Aurelio Peccei du Club de Rome en 1968, et co-auteur du livre Halte à la croissance ? qui remit en valeur l'argument malthusien en faveur d'une réduction drastique de la population mondiale.
  • Jonkheer John H. Loudon. Fait chevalier des familles royales britanniques et hollandaises. Choisi personnellement par le prince Bernhard en 1977 pour lui succéder à la présidence du WWF-International, il est l'ancien P-DG du groupe Royal Dutch Shell.
  • Sir Peter Scott (décédé). Chevalier de l'Empire britannique. Président du WWF depuis ses débuts en 1961. Président de la Commission du service de survie de l'UICN depuis 1963. Fondateur du Wildfowl Tust (fonds du gibier d'eau) en 1964.
  • Maurice Strong. Vice-président du WWF-lnternational jusqu'en 1975. Premier directeur exécutif du Programme des Nations unies pour l'environnement (PNUE) jusqu'en 1975, et avant cela, secrétaire général de la Conférence sur l'environnement humain de l'Onu pendant deux ans. Président du bureau de l'UICN, sous-secrétaire général des Nations unies (1985-1987), il fut chargé de diriger le sommet de la Terre de Rio de Janeiro en 1992. Nommé par le gouvernement canadien président de Petro-Canada (1976-1978) ; président d'Ontario Hydro.
  • Gustavo Cisneros. Millionnaire vénézuélien proche de milieux blanchissant l'argent de la drogue. Début 1994, la banque dirigée par sa famille, la Banco Latino, fit faillite et fut saisie par le gouvernement vénézuélien. Son frère Ricardo, directeur de la Banco Latino est depuis lors en fuite. Gustavo dirigeait la principale organisation écologiste du pays (BIOMA), jusqu'à ce que celle-ci fût fermée pour avoir fait réaliser un film truqué dénonçant le massacre des dauphins.
  • D.K. Ludwig (décédé). Homme d'affaire qui a fait fortune en détruisant les forêts humides d'Amazonie. Il aida par la suite Meyer Lansky, le parrain du syndicat du crime organisé, à établir son empire de blanchiment de narcodollars dans les Bahamas.
  • Fred Meuser. L'homme qui transmit le pot de vin de 1,1 million de dollars de la société Lockheed au prince Bernhard.
  • Tibor Rosenbaum (décédé). Premier chef de la logistique du Mossad. Sa Banque du crédit internationnal (BCI) a été qualifiée par le magazine Life en 1967 de « blanchisserie » pour Meyer Lansky.
  • Louis Mortimer Bloomfield (décédé). Cofondateur du WWF-Canada, il fut un agent de renseignement britannique affecté au FBI américain pendant la Deuxième Guerre mondiale. II présida ensuite à Montréal la société Permindex, société que le procureur du district de la Nouvelle-Orléans, Jim Garrison, accusa d'avoir joué un rôle dans l'assassinat du président Kennedy. Les services secrets français établirent que Permindex avait recyclé 200 000 dollars à travers la BCI dans le but de financer diverses tentatives d'assassinat contre le général de Gaulle. Permindex fut expulsé de France et d'Italie.
  • Robert Vesco, fugitif international, considéré comme la « connexion américaine » du cartel de Medellin.
  • Anton Rupert, cofondateur du Club 1001 et président du WWF-Afrique du Sud. Propriétaire du tabac Rembrandt et protégé de sir Stewart Menzies, chef du MI-6 britannique pendant la Deuxième Guerre mondiale.
  • Henry Keswick, président de Jardine Matheson, la société britannique créée par Lord Palmerston pour s'occuper du trafic d'opium en Extrême-Orient au XIXème siècle. Son frère, John Keswick, est directeur de la Banque d'Angleterre et président de la Hambros Bank, laquelle soutient le WWF.
  • Edmond Safra, président de la Safra Bank, ancien propriétaire de l'American Express. Soupconné de blanchir de l'argent sale, il a fait l'objet d'enquêtes de la part des gouvernements suisse et américain.

Ce que pensent les dirigeants du WWF

• Quelques citations choisies du prince Philip, duc d'Edimbourg.

Rapporté par l'agence de presse Deutsche Press Agentur, en août 1988 :
« Au cas où je serais réincarné, je souhaiterais l'être sous la forme d'un virus mortel afin d'apporter ma contribution au problème de la surpopulation. »

Introduction au chapitre sur le « facteur démographique » de son livre Down to the Earth, 1988:

« Ce que l'on entend par l' « équilibre de la nature », c'est simplement le système naturel d'autolimitation. La fécondité et la reproduction réussie créent des excédents, une fois les pertes remplacées. Le système des prédateurs, les variations climatiques, Ia maladie, la famine et dans le cas du mal nommé « homo sapiens » — la guerre et le terrorisme constituent les principaux moyens par lesquels la quantité des popula tions est restreinte.
«Abstraction faite des passions, il doit être évident que la population humaine du monde est devenue si nombreuse qu'elle menace son propre habitat ; et elle a déjà réussi à provoquer la disparition d'un grand nombre d'espèces de faune et de flore. Certaines ont été tout simplement tuées. D'autres ont disparu discrètement parce que des activités humaines avaient occupé ou perturbé leurs habitats. »

Préface du même livre:

« Je ne prétend pas m'intéresser spécialement à l'histoire naturelle mais, lorsque j'étais petit, on a attiré mon attention sur les fluctuations annuelles de la quantité de gibier et sur la nécessité de fixer le nombre d'animaux à supprimer en fonction de la population excédentaire. »

Lors de la réception d'un diplôme honoraire de l'université de l'Ontario (Canada) le 1er juillet 1983 :

« Le projet de l'Organisation mondiale de la santé (OMS) destiné à éliminer la malaria au Sri Lanka dans les années après la guerre, a réalisé son objectif. Mais le problème, c'est que le Sri Lanka doit aujourd'hui nourrir trois fois plus de bouches, trouver trois fois plus d'emplois, tripler les logements, l'énergie, les écoles, les hopitaux et les terres habitables, afin de maintenir les mêmes niveaux. II n'est guère étonnant que l'environnement naturel et la faune dans ce pays en aient souffert. Toujours est-il que (...) les programmes d'aide les mieux intentionnés sont, au moins en partie, responsables de ces problèmes. »

Discours devant la réunion conjointe du Groupe de la population et du développement et de la Commission de conservation de tous les partis à Londres le 11 mars 1987:

« Je crois que (...) la pression exercée par la population humaine — le simple nombre de gens sur cette planète — est la cause la plus importante de la dégradation de l'environnement naturel (...) Tout ceci a été rendu possible par la révolution industrielle et le développement explosif de la science qui a été propagé dans le monde entier par la nouvelle religion économique du développement. »

Un entretien avec Thomas Lovejoy

L'entretien suivant a été accordé en 1983 à un représentant des Éditions Alcuin par M. Thomas Lovejoy, à l'époque dirigeant du WWF des Etats-Unis et P-DG de la compagnie d'assurance Metropolitan Life Co.

Thomas Lovejoy : Je veux clarifier les choses d'emblée : il y a des gens qui font circuler des histoires très sales selon lesquelles le WWF essaye d'empêcher le moindre investissement dans le secteur en voie de développement, qu'il rejette toute industrie, que nous ne nous intéressons qu'aux animaux et aux plantes... C'est un mensonge...

Mais le WWF n'a-t-il pas pris le parti des petits animaux et des plantes exotiques contre le développement industriel et le développement des ressources dans certains endroits ?

Thomas Lovejoy : Certes. Mais cela ne veut pas dire que nous nous opposons à tout développement. Nous nous opposons à tout développement désordonné et négligent. Je veux que cela soit clair, parce qu'autrement il y a des gens importants qui vont en tirer une mauvaise impression. Savez-vous qui je suis ? Savez-vous vraiment qui je suis ? Je suis le président du Comité exécutif du conseil d'administration de la Metropolitan Life. Savez-vous qui est vraiment Russel Train [Président du WWF américain et ancien officier de l'Otan] ? Il est membre du conseil d'administration d'Union Carbide. Qui croyez-vous, nom d'un chien, qui fait les investissements dans le secteur en voie de développement ? Qui profite ? Regardez donc le conseil de direction du WWF et vous y trouverez les dirigeants du monde des affaires industrielles et financières. C'est nous qui faisons les investissements. Nous faisons les profits et nous voulons continuer... tout en protégeant les petits animaux... Le problème numéro un, ce sont ces satanés secteurs publics et nationaux des pays en voie de développement Ces pays pensent qu'ils ont le droit de développer leurs ressources comme ils l'entendent. Ils veulent devenir des puissances, des Etats souverains et ils s'affairent... Nous pensions que nous pourrions mieux contrôler tout cela en raisonnant leurs dirigeants, ces crétins nationalistes. Mais nous avons surestimé la capacité que nous avons de contrôler ces gens-là, nous allons devoir ajuster le tir. L'ajustement sera certainement très douloureux. Le véritable problème, c'est ce stupide nationalisme et les plans de développement auquel il conduit.

Comment en venir à bout ?

Thomas Lovejoy : Ce n'est pas facile. Avant tout, il faut commencer par contrôler le ministère du Plan dans ces pays-là, surtout dans les grands pays. La crise de la dette est particulièrement opportune. Elle présente des risques mais aussi des promesses. Elle va imposer des coupes claires, des choix pénibles. Il devrait être possible de briser certains de ces grands combinats nationaux, comme l'industrie pétrolière mexicaine, parce qu'ils sont inefficaces et gros dévoreurs de capitaux.

Comment ferez-vous pour changer le programme d'investissement ? Ce n'est pas facile...

Thomas Lovejoy : C'est vrai, mais ce n'est pas impossible. Nous suggérons que si vous faites usage des considérations écologiques que nous soulevons, cela permet de retracer le plan des stratégies de développement. Prenez le Brésil, il y a d'ambitieux programmes de développement de l'aluminium. L'idée est excellente, mais on ne peut pas le faire sans une énorme quantité d'énergie. C'est là que les problèmes commencent. Les Brésiliens — je suis au courant, j'ai dix-sept ans d'expérience avec eux — pensent que s'ils développent l'Amazone, ils deviendront une superpuissance. Ils se montent la tête avec tout ça. Alors, il faut être prudent. On peut les acheter avec moins. Laissez-les développer leur bauxite et d'autres choses, et pendant ce temps-là, restructurez les plans afin de diminuer le développement du secteur énergétique, pour des raisons écologiques. A ce moment-là, nos amis du ministère du Développement s'exclament que c'est vraiment une très bonne idée...

Et qui fera les profits sur les développements de la bauxite ?

Thomas Lovejoy : Les fonds pour investir viendront de tous côtés et les profits seront largement répartis, et les amis du WWF seront au beau milieu de tout ça. C'est pour cela que je dis qu'il est absurde de nous présenter comme opposés au développement. Nous avons un problème avec les nations, et certes les nations en tant qu'institutions font obstacle à toutes sortes de choses — font obstacles aux projets profitables et écologiquement sains. Mais c'est un mensonge hystérique de nous accuser d'être antidéveloppement.

Les parcs naturels en Afrique

Le WWF n'a pas innové en matière de parcs naturels. Si l'on étudie de près l'histoire de l'empire colonial britannique, l'on constatera que ce dernier a mis en place vis-à-vis de ses colonies — et en particulier en Afrique — des politiques qui ressemblent étrangement pour certains aspects à ce que le prince Philip propose pour l'écologie de la planète.

La lecture d'une carte d'Afrique où se dessinent les frontières des parcs nationaux peut être une activité enrichissante. D'abord, on est frappé par la simple dimension de ces systèmes : la superficie du parc Kruger en Afrique du Sud est, par exemple, comparable à celle de la Lorraine, tandis que le vaste complexe de parcs en Zambie recouvre une étendue supérieure a la Grande Bretagne. Un autre aspect saisissant de cette carte est le grand nombre de parcs et de réserves qui sont situés sur des réserves nationales. Dans bien des cas, ils constituent des ensembles binationaux ou trinationaux à califourchon sur des frontières communes.

Il n'y a rien de spécifique à conserver précisément sur ces frontières qui ont été tracées arbitrairement par les empires coloniaux. A cette époque, ces zones dans lequelles les indigènes n'avaient pas le droit de pénétrer, constituaient pour l'oligarchie coloniale des zoos dans lesquels elle pouvait venir librement chasser ou contempler une nature apparement vierge d'activité humaine. Aujourd'hui, ces réserves constituent de véritables zones d'instabilité politique qui permettent de maintenir l'Afrique dans un état permanent de guerres, de coups d'Etat, de massacres et... de non-développement. Dans un tel contexte, les richesses naturelles ne sont pas exploitées pour élever le niveau de vie de la population mais demeurent simplement sous le contrôle de quelques cartels miniers du Commonwealth anglo-américain.

Donnons deux exemples :

  • Ouganda-Soudan. Le dernier bastion de l'Armée de libération du peuple soudanais (SPLA) au Soudan est la ville de NimuIi sur la frontière avec l'Ouganda. II est approvisionné à la fois depuis le parc national tout proche de Nimuli qui se trouve à la frontière avec l'Ouganda, et depuis le parc de la vallée de Kidepo dans le nord de l'Ouganda. Ce dernier sera aussi de centre de commandement et d'entrainement du SPLA.

    Depuis au moins les années 60, différents groupes ougandais ont lancé des opérations militaires contre le sud du Soudan à partir du parc Kidepo. Celui-ci a été créé en 1962, contre l'avis des spécialistes de la conservation sur place qui contestaient surtout son emplacement. Certains maintiennent qu'il avait été créé uniquement pour faciliter la subversion par la Grande-Bretagne du Soudan devenu indépendant en 1956. Le fondateur du WWF, Peter Scott, fut aussi pendant longtemps le président du département ougandais des parcs.

  • Ouganda/Congo-Zaire. Pendant les années 60 et 70, le KGB formait des mouvements de libération de l'Afrique australe dans des parcs nationaux de l'Ouganda et du Zaïre. Parmi ces mouvements, il y avait l'Union des peuples du Zimbabwe (ZAPU) et sa scission, l'Union nationale africaine du Zimbabwe (ZANU), le Congrès national d'Afrique du Sud (ANC) et sa scission, le Congrès Pan-Africain (PAC).

    Les endroits utilisés faisaient partie du complexe des parcs nationaux de l'ouest de l'Ouganda et de l'est du Zaïre, dont le parc zaïrois Virunga, le complexe de parcs Reine Elisabeth et le parc Gorille d'Ouganda. Ces mêmes parcs devaient servir plus tard aux invasions ougandaises du Rwanda en 1990 et 1994.

Le WWF en Europe

Les projets du WWF en matière de « parcs naturels » et de « zones protégées » ne se limitent pas à l'Afrique, même si c'est sur ce continent qu'ils prennent leur forme la plus brutale — étant donné que c'est justement là que le «mondialisme" prend le plus le pas sur les Etats et les institutions nationales à l'heure actuelle. En fait, le WWF a prévu pour les cinq continents des projets de redécoupage des frontières, y compris en Europe et en Amérique du Nord, qui visent partout à faire exploser la souveraineté nationale.

La chute du communisme semble, par exemple, avoir constitué un cauchemar pour le prince Philip, car à cette époque, certains milieux industriels en Europe, influencés en cela par des propositions de l'économiste américain Lyndon LaRouche, avaient envisagé de lancer un programme de développement industriel et d'infrastructure comprenant entre autres un vaste réseau ferroviaire entre l'Europe de l'Ouest et l'Europe de l'Est. Le WWF a publié une étude intitulée Parcs pour la vie : Action en faveur de zones protégées en Europe qui a été présenté à la presse le 19 septembre 1994 à Bruxelles. A la lecture de ce rapport de 150 pages, on trouve un étonnant éloge du rideau de fer car celui-ci aurait contribué à préserver la pureté écologique en Europe ! Tout au long de ce rapport, les auteurs se prononcent contre « les grands projets d'infrastructure » et pour l'extension des terres non exploitées.

Le WWF en France

Le WWF sert de structure de coordination à l'ensemble des organisations écologistes pour leurs différentes actions contre les projets infrastructurels. Avec un budget annuel de 20 millions de francs, provenant essentiellement du mécénat d'entreprises, il mène une campagne assidue pour instaurer le « développement durable » dans tous les secteurs de la vie francaise. Par ce terme, le WWF entend surtout la « protection des milieux naturels », à laquelle il consacre 43% de son budget.

C'est ainsi que l'opération qui a permis de bloquer les programmes de l'EPALA (Etablissement public de l'aménagement de la Loire et de ses affluents) a été menée par une association, Loire vivante, dont l'essentiel du fonctionnement était assuré par le WWF. C'est en effet lui qui payait le salaire du permanent suisse de cette association, Roberto Epple. Cette opération a d'ailleurs réussi puisque, après moult retournements et tergiversations des gouvernements Rocard, Cresson et Bérégovoy, il était finalement décidé en janvier 1994 — donc par le gouvernement Balladur — d'abandonner deux projets de barrage, dont celui de Serre-de-la-Fare, le plus controversé des ouvrages proposés par l'EPALA.

En 1988, le duc d'Edimbourg se rendait même en personne au Bec d'Allier, l'observatoire installé par le WWF au confluent de la Loire et de l'Allier, et y lançait son « Vive la Loire sauvage ! » Se développait ensuite une campagne l'échelle européenne, dont le cri de ralliement était « Sauvons la Loire, dernier fleuve sauvage d'Europe ». Les organisations écologistes des quatre coins de l'Europe rameutées par le WWF, venaient soutenir les opposants à l'aménagement de la Loire. Ceux qui ont tout perdu suite aux inondations apprécieront l'éloge ainsi consacré à la « sauvagerie » d'un fleuve qui a accompagné pendant plus de dix siècles l'histoire de France. Sauvagerie qui peut se résumer en deux chiffres : en plein été, le débit de la Loire peut descendre jusqu'à 50 m3/s (le quart de celui de la Seine au mois de juillet sous les ponts de Paris) ; lors d'une grande crue, ce même débit peut soudain s'élever jusqu'à 8 000 m3/s. La grande colère de la Loire de 1980 faisait ainsi 8 morts et plus de 500 millions de francs de dégâts.

Selon la philosophie du WWF, « l’homme doit abandonner les zones dangereuses », ce qui revient essentiellement à dire que l'homme doit disparaître de la surface de la planète. C'est pourquoi le WWF fait abondamment campagne contre les projets de barrage de la Loire, n'hésitant pas à s'allier pour l'occasion une organisation aussi extrémiste que Robin des Bois, fondée par Jacky Bonnemains, un dissident de Greenpeace.

Le WWF travaille aussi directement avec Greenpeace. Le directeur de la communication du WWF, Pierre Mollier, avoue ainsi « rencontrer au minimum une fois par semaine mes collègues de Greenpeace, au moins pendant la période de la conférence de la Commission baleinière internationale ». S'il y a parfois désaccord sur les méthodes entre les deux organisations, il y a complet accord sur le but à atteindre : arrêter ce qu'ils appellent le «développement insoutenable qui détruit la planète. »

 

Source:

 

http://www.pyrenees-pireneus.com/Ecologistes-Ecologie/Nature-Mouvement-Objectifs/Ecologistes-nature-mouvements-objectifs-05-wwf.htm
link
 

W.W.F L'ASSOC ECOLO CORROMPU AVEC LE CREDIT AGRICOLE

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13 mai 2012 7 13 /05 /mai /2012 18:34

 

 

Source: http://911nwo.info/2011/10/18/no-comment-le-lobby-pro-israelien-vu-par-france-television/

link

 

Citation du jour:

 

"Lorsqu'un gouvernement est dépendant des banquiers pour l'argent, ce sont ces derniers, et non les dirigeants du gouvernement qui contrôlent la situation, puisque la main qui donne est au dessus de la main qui reçoit. [...] L'argent n'a pas de patrie; les financiers n'ont pas de patriotisme et n'ont pas de décence; leur unique objectif est le gain."
Napoléon Bonaparte (1769-1821), Empereur Français


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13 mai 2012 7 13 /05 /mai /2012 15:41

 

S’intéresser au Nouvel Ordre Mondial, c’est forcément s’intéresser aux rouages du Pouvoir et aux activités des élites en charge de la mise en place du NWO.

S’intéresser au Siècle, c’est s’intéresser à ces rouages secrets et à ces élites de l’entre-soi :

 

 

 

 

 

 

 

L’un des éléments très importants à retenir, c’est le Bulletin Quotidien de la SGP, très certainement établi par des membres du Siècle et diffusé aux élites pro-NWO.

Pour le reste, on retrouve les techniques crypto-maçonniques de cooptation ou de blackboulage, et le secret absolu bien évidemment…

On comprend pourquoi la police (aux ordres des élites) a nettoyé les manifestations qui se mettaient en place chaque dernier mercredi du mois devant le Siècle, tellement ce diner mondain apparait comme une structure incontournable du NWO pour la zone France.

Une vidéo incontournable pour bien comprendre le fonctionnement occulte du Système.

 

http://911nwo.info/2011/11/19/videos-nwo-la-france-du-siecle/

 

Source: link

 

Citation du jour:

 

"L'éducation est un système d'ignorance imposée."
"Des centaines de milliards de dollars sont dépensés chaque année pour contrôler l'opinion public."
Noam Chomsky, professeur et auteur américain


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8 mai 2012 2 08 /05 /mai /2012 22:01

a) l'article 2, paragraphe 2, de la CEDH:

 


«La mort n'est pas considérée comme infligée en violation de cet article dans les cas où elle résulterait d'un recours à la force rendu absolument nécessaire:


a) pour assurer la défense de toute personne contre la violence illégale;


b) pour effectuer une arrestation régulière ou pour empêcher l'évasion d'une personne régulièrement détenue;


c) pour réprimer, conformément à la loi, une émeute ou une insurrection.»

 

Lien vers le traité de Lisbonne, la CEDH (court européenne des droits de l'homme):

Explications relatives à la Charte des droits fondamentaux

Cliquez sur:  17 (article 2, paragraphe 2)

 

http://eur-lex.europa.eu/JOHtml.do?uri=OJ:C:2007:303:SOM:FR:HTML

 

Vidéo sur la CEDH:

 

 

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