Les banques prêtent dix fois leurs fonds propres selon les accords de Bâle 3 (réserve fractionnaire). Pour régler le problème de la dette publique, les banques ne recevraient des intérêts que sur l’argent réellement prêté de leurs fonds propres et pas sur les 9/10ème venant des dépôts des clients. Ainsi les états paieraient dix fois moins d’intérêts sur les sommes empruntées pour leur budget (réduction de la dette publique) et les banques serait incitées à augmenté leurs fonds pour recevoir plus d’intérêts donc plus de sureté bancaire.
Article de Philip Dru
Par Michela
Article du journal à édition unique "Cetro".
Le fond Monétaire International (FMI) est désormais une institution connue des européens. Créé en 1944, le FMI a pour mission d’assurer la stabilité financière dans le monde, en prêtant Aux états en difficulté. Depuis les années 80, au nom de cette belle mission, le FMI s’est Immiscé dans les décisions politiques et économiques des pays du Sud : en échange de prêts, L’institution impose la mise en place de terribles plans d’austérité, alors appelés Plans d’Ajustement Structurels (PAS). Tout comme le peuple européen le fait aujourd’hui, les peuples des pays du Sud Ont organisé la résistance face à ces mesures antisociales et l’institution est rapidement devenue impopulaire.
Le FMI se nourrit des crises
Depuis les années 2000, le FMI est délégitimé notamment en Amérique Latine, ou il a été chassé de différents pays. D’autre part, depuis 2004, l’augmentation du prix des matières premières a permis à certains pays de rembourser de manière anticipée leur dette vis-à-vis du FMI. C’est le cas, par exemple, du Brésil ou de l’Algérie. Étant donné que les prêts sont le fonds de commerce de l’institution, ce type d’opération ne l’arrange absolument pas …
Ainsi le FMI a connu la crise : en 2003, le montant de ces prêts s’élevait à 107 milliards pour atteindre en 2007 quelque 16 milliards de dollars. L’institution licencie alors 15% de son personnel (400 personnes) et vend une partie de son stock d’or. Heureusement, l’éclatement de la crise de la dette en Europe est là et le FMI va se remettre à flot.
Il intervient en 2008 en dehors de la zone euro, notamment en Islande, en Hongrie, en Ukraine, en Lettonie, en Roumanie et en Serbie. Malgré les échecs à répétition de l’austérité imposée aux pays du Sud, le FMI ne va pas changer sa recette : à chaque prêt, l’institution exige la casse des droits sociaux : licenciement des fonctionnaires, privatisation de la santé, de l’éducation, augmentation de l’âge de la retraite, baisse des droits au chômage, pensions, etc.
Dés 2008, la crise se propage dans des pays de la zone euro. En avril 2009, le G20 (groupe illégitime des 20 pays les plus riches qui décident pour le reste du monde) décide de confier au FMI le rôle principal de gestionnaire de la crise en Europe. Le G20 augmente de 720 milliards de dollars la capacité de prêt du FMI et l’autorise à emprunter sur les marchés financiers en cas de besoin. Le FMI intervient en mai 2010 en Grèce, en novembre 2010 en Irlande, en avril 2011 au Portugal, etc.
Sauvé par la crise de la dette, le FMI fait de nouveau du profit! Ainsi fin 2011, le montant des prêts de l’institution retrouve un niveau record et atteint 254 milliards de dollars. Ce n’est décidément pas la crise pour tout le monde : le naufrage des peuples a permis la remise à flot du FMI…
Le FMI fait partie du système des Nations Unies. Voila les autres institutions dirigées par l'oligarchie financière mondialiste :
Ils sont au nombre de six et sont définis dans la Charte des Nations unies :
Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Syst%C3%A8me_des_Nations_unies
Le site du siège des Nations unies à New York, par exemple, est un don de la fondation John D. Rockefeller Jr.
Le siège des Nations unies, à la demande des parlementaires américains, fut construit à New York le long de l'East River sur un terrain acquis grâce à une donation de John Davison Rockefeller Junior. Il a été inauguré le 9 janvier 1951. Le siège des Nations unies jouit de certains privilèges diplomatiques. Propriété de l’Organisation des Nations unies, le site du Siège est territoire international. C'est-à-dire que, par exemple, aucun membre de la sécurité américaine ne peut y entrer sans la permission du Secrétaire général.
Source : http://fr.wikipedia.org/wiki/Organisation_des_Nations_unies
Voila comment le FMI et la Banque Mondiale obligent les pays à faire des emprunts alors qu'ils pouraient créé leur propre monnaie sans prêt.
Retrouvez chaque mercredi une vidéo-édito de Myret Zaki, rédactrice en chef adjointe de Bilan (www.bilan.ch), sur un thème d’actualité économique ainsi que des interventions d’autres membres de la rédaction et des interviews de personnalités.
Ce matin j'ai entendu à la radio (la première) une interview d'un économiste aligné (Bruno Colmant) qui disait que la planche à billets de la BCE était une bonne chose!
Voila ce que j'ai répondu:
Comme le dit Bruno Colmant: "la BCE fait de la planche à billets" ce qui est interdit par l'article 104 du traité de Maastricht et l'article 123 du traité de Lisbonne, d’ailleurs cette règle européenne est responsable de l'endettement des états et les obligent à emprunter avec intérêts sur les marchés privé. Maintenant la BCE se permet de changer les règles en cours de route pour "sauver l'euro". C'était avant qu'il fallait changer les articles en question mais le but était d'endetter les états au maximum pour le plus grand plaisir des banquiers privé. Bonjour l'inflation et l'endettement des Européens sur vingt générations car la BCE s'endette aussi en notre nom pour acheter les obligations d'état. Ben Bernanke de la FED va aussi faire un Quantitative easing n°3 (planche à billets).
Cliquez sur commentaires:
http://www.rtbf.be/info/emissions/article_bruno-colmant-est-l-invite-de-matin-premiere?id=7841258
Commentaires bienvenus...
Attention, L’Allemagne, les Pays Bas, la Finlande, l’Autriche, le Danemark, la Suisse, la France se finances à taux négatif à -0,005% et -0,006%. Les investisseurs ont tellement peur de ne pas revoir leur argent qu'ils préfèrent en perdre un petit peu et être sur de ne pas tout laisser dans leurs actions bancaires.
Ces investisseurs sont en majorité des banquiers ou des assureurs, liste pour la France(*1). En clair les banquiers eux-même savent que les banques sont au bord de la faillite. Donc nos comptes sont en danger et cette fois les états ne pourront pas tout garantir. La preuve dans le jt du 10 juillet à 27 minutes:
http://www.rtbf.be/video/v_jt-19h30?id=1743520&category=info
Avec la réserve fractionnaire les banques peuvent prêter environ 10 fois ce qu'elles ont en dépôt.
Ce qui explique pourquoi les banques n'ont pas de garantie et tombent si facilement, puis les états doivent les renflouer avec l'argent de nos impôts.
Le système de réserves fractionnaires
Ce terme un peu abscons désigne simplement le droit pour une banque de prêter (par des jeux d'écritures) de l'argent qu'elle n'a pas, et sur lequel, outre le remboursement par le débiteur, elle touchera des intérêts. Cette création de monnaie scripturale ex nihilo est tempérée par l'obligation de déposer un pourcentage des encours de crédit de la banque auprès de la banque centrale ("réserves obligatoires"), pourcentage relativement faible (quelques pourcents). De la même façon, la transformation bancaire consiste à prêter des ressources à court terme (celles des épargnants) pour financer des crédits à long terme (ceux des emprunteurs).
Donc l'argent de nos dépôts garanti nos prêts.
Source: http://www.wikiberal.org/wiki/Banque_centrale
Des règles prudentielles sont imposées aux banques afin que les crédits qu'elles accordent ne dépassent pas différents ratios (déterminés actuellement par les règles dites de Bâle II) et représentent sensiblement une obligation de 8 % de fonds propres, des crédits accordés.
Source: http://fr.wikipedia.org/wiki/Cr%C3%A9ation_mon%C3%A9taire
Résultat avec 20% de réserve:
Effet multiplicateur du crédit avec un exemple de 1 000 $ et une réserve de 20 %
Le prix nobel d'économie Maurice Allais :
« Dans son essence, la création monétaire ex nihilo actuelle par le système bancaire est identique, je n'hésite pas à le dire pour bien faire comprendre ce qui est réellement en cause, à la création de monnaie par des faux-monnayeurs, si justement condamnée par la loi. Concrètement elle aboutit aux mêmes résultats. La seule différence est que ceux qui en profitent sont différents. »
(*1)
Voici une liste des 50 plus gros détenteurs de dette souveraine française, selon les données Thomson Reuters
Cette liste ne comprend pas les institutions comme les banques centrales, qui n'ont pas à signaler leur portefeuille aux régulateurs.
Société Pays
1 AXA Investment Managers Paris France
2 Allianz Global Investors France SA France
3 MMA Finance France
4 CM-CIC Asset Management France
5 BNP Paribas Asset Management SAS France
6 CNP Assurances France
7 Amundi France
8 Covéa Finance SAS France
9 Matmut France
10 AEGON Investment Management B.V. Pays-Bas
11 Fideuram Asset Management Irlande
12 Pioneer Investment Management Irlande
13 Groupama Asset Management France
14 Pacific Investment Management Co. Etats-Unis
15 Suravenir France
16 Natixis Assurances France
17 Swiss Life (France) France
18 MAAF France
19 Natixis Asset Management France
20 Eurizon Capital SA Luxembourg
21 UBS Global Asset Management Suisse
22 Standard Life Investments Ltd Royaume-Uni
23 MACSF France
24 Lyxor Asset Management France
25 Crédit Suisse Asset Management Suisse
26 State Street Global Advisors UK Ltd Royaume-Uni
27 Monceau Assurances France
28 BNP Paribas Investment Partners Royaume-Uni
29 Union Investment Privatfonds GmbH Allemagne
30 BlackRock Global Investors Royaume-Uni
31 Malakoff Médéric France
32 Dexia Asset Management Belgium SA Belgique
33 Scottish Widows Investment Royaume-Uni
Partnership
34 La Banque Postale Asset Management France
35 ING Investment Management B.V. Pays-Bas
36 ING Investment Management Belgium Belgique
37 Kokusai Asset Management Co Ltd Japon
38 Pioneer Investments Austria GmbH Autriche
39 MACIF Gestion France
40 ERSTE-SPARINVEST Autriche
41 Deka Investment GmbH Allemagne
42 Vanguard Group Inc, The Etats-Unis
43 DWS Investment GmbH Allemagne
44 La Française des Placements France
Investissements
45 Legal & General Asset Management France
(France)
46 Insight Investment Management Royaume-Uni
47 Halbis Capital Management (France) France
48 KBC Asset Management SA (Luxembourg) Luxembourg
49 JPMorgan Asset Management (UK) Ltd Royaume-Uni
50 BNP Paribas Luxembourg SA Luxembourg
Source de la liste: Wikistrike
2eme Source de la liste: Reuters
Article de Philip Dru
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L’euro est un immense succès – Je ne déconnne pas !
[Greg Palast - The Guardian - Mardi 26 Juin 2012 - Traduction: Gregor Seither - IES News Service]
L’idée que l’euro a «échoué» est d’une naïveté dangereuse. L’euro a réussi à faire exactement ce que son géniteur – et les 1% de riches qui l’ont adopté – avaient prévu qu’il fasse et ce
pour quoi ils l’avaient conçu.
Ce géniteur est l’ancien détenteur de la chaire d’économie à l’Université de Chicago, l’économiste renommé Robert Mundell.
L’architecte du concept d’une “économie de l’offre” est désormais professeur à l’Université de Columbia, mais j’avais fait sa connaissance par le biais de mon ancien professeur à
l’université de Chicago, Milton Friedman. Je l’avais rencontré bien avant que les travaux de recherche de Mundell sur les monnaies et les taux de change aient posé les bases économiques
et théoriques de l’union monétaire européenne ainsi que de la monnaie commune européenne.
A l’époque, Mundell était très occupé avec l’aménagement de la salle de bains de sa résidence secondaire en Europe. Le professeur Mundell, qui était détenteur à la fois d’un prix Nobel et d’une
ancienne villa en Toscane, m’avait expliqué, furieux: “Ils ne m’autorisent même pas à installer des toilettes. Ils ont des règlements qui m’interdisent d’installer des toilettes dans
cette pièce ! Est-ce que vous pouvez imaginer une chose pareille ? “
De fait, je ne pouvais pas. Mais il est vrai que je ne possède pas de villa italienne, je ne peux donc pas imaginer la frustration d’avoir à subir des règlements administratifs régissant
l’emplacement des sanitaires.
Mais Mundell, un homme énergique d’origine canadienne et étatsunienne, n’était pas homme à se laisser mettre des bâtons dans les roues par l’administration. Il était bien décidé à contre-attaquer
en inventant une arme qui balayerait les règles gouvernementales et la réglementation du travail. (Encore plus que l’administration tatillonne, il détestait les plombiers syndiqués qui lui
avaient facturé des sommes folles pour déplacer sa cuvette de chiottes.)
“Il est bien trop difficile de virer des ouvriers, en Europe. Ils ont des droits, là-bas” se plaignait-il. Sa réponse à cette situation: l’Euro.
Pour Mundell, le vrai visage de l’Euro ne se révèlerait qu’en période de crise. C’est là que la monnaie unique ferait vraiment son travail. Le fait d’éliminer le contrôle d’un
gouvernement sur la monnaie permettrait d’éviter que des vilains petits élus fassent appel à des méthodes monétaires et budgétaires d’inspiration keynésienne pour sortir un pays de la
récession.
“L’Euro permettra de mettre la politique monétaire hors de la portée des politiciens», m’avait-il expliqué. “[Et] privé des leviers de la politique fiscale, la seule façon pour un pays de conserver des emplois sera de de devenir compétitif en allégeant les règles et contraintes qui pèsent sur les entreprises et les affaires.“
Pour Mundell, ces contraintes qu’il fallait éliminer sont les lois du travail, les règlementations environnementales et, bien sûr, les impôts et charges sociales. Tout cela serait balayé
comme fétus de paille par l’Euro. Il ne serait pas permis à la démocratie d’interférer avec le marché capitaliste – ou avec la plomberie.
Comme l’explique un autre lauréat du prix Nobel, Paul Krugman, la création de la zone euro a violé une règle économique de base, connue sous le nom de “zone monétaire optimale”.
Or cette règle économique de base avait été conçue par Bob Mundell.
Mais cela ne dérange pas Mundell. Pour lui, le but de l’Euro n’était pas de faire de l’Europe une unité économique puissante et unifiée. Pour Mundell, l’objectif de l’Euro était de poursuivre le
travail entrepris par Reagan et Thatcher.
“Ronald Reagan n’aurait jamais été élu président sans l’influence de Mundell,” a écrit Jude Wanniski dans le “Wall Street Journal”. L’économie de l’offre, développée et
propagée par Mundell était devenu le modèle théorique des la pensée économique Reaganienne, les “Reaganomics” – ou comme l’avait expliqué George Bush l’Ancien, “l’économie
vaudou”,basée sur la croyance magique dans le libre-marché comme étant la panacée. Une croyance quasi-religieuse qui avait également inspiré les politiques de Margaret Thatcher.
Lors de notre rencontre, Mundell m’avait expliqué que, en fait, l’Euro est simplement la poursuite du concept des “Reaganomics”:
“La discipline monétaire oblige les politiques à se plier la discipline budgétaire, sans exception”
Et lorsque des crises surviennent, les nations économiquement désarmées n’ont pas d’autre alternative que d’éradiquer la plus grande partie de leur réglementations et législations
gouvernementales, de privatiser massivement les services publics et industries d’Etat, de réduire les impôts et de balancer à la poubelle le modèle social européen et son
État-providence. (Note du traducteur: où, comme l’avait si clairement expliqué le n°2 du MEDEF, Denis Kessler, grand ami de DSK, dans un article de la revue Challenges d’Octobre 2007 : “Il s’agit de défaire
méthodiquement le programme du CNR. Le modèle social français est le pur produit du Conseil national de la Résistance. Un compromis entre gaullistes et communistes. Il est grand temps de
l’éliminer.”)
C’est de cette manière que nous assistons au spectacle d’un Premier ministre (non-élu) Mario Monti qui exige une “réforme” du
droit du travail en Italie afin de rendre plus facile pour des employeurs comme Mundell le licenciement des plombiers toscans mentionnés ci-dessus. Mario Draghi, le directeur (non élu) de la Banque centrale européenne, appelle à des “réformes structurelles” – un euphémisme pour désigner
des plans de licenciements massifs et des mesures sociales au détriment des travailleurs. Ils se basent sur une théorie nébuleuse qui voudrait que cette “dévaluation interne” de chaque nation
permettra de rendre tout le monde plus compétitifs.
Monti et Draghi n’ont jamais été capables de nous expliquer de manière crédible par quel manière, si tous les pays du continent déprécient leur main-d’œuvre, chacun pourra acquérir un avantage
concurrentiel.
Heureusement, ils n’ont pas besoin d’expliquer leurs politiques pour que celles-ci soient mises en oeuvre. Il leur suffit de laisser les marchés s’attaquer aux obligations de
chaque pays. En conséquence, l’union monétaire n’est rien d’autre que la poursuite de la lutte des classes par d’autres moyens.
La crise en Europe et les flammes de la Grèce baignent l’économie dans la lumière chaleureuse de ce que roi-philosophe de l’économie de l’offre, Joseph Schumpeter, a appelé la “destruction créatrice“. L’acolyte de Schumpeter et thuriféraire du libre échange,
Thomas Friedman s’est rendu à Athènes pour s’incliner devant le “sanctuaire improvisé”, c’est à dire la banque incendiée où trois
personnes ont trouvé la mort après que des manifestants anarchistes y aient jeté un engin incendiaire. Friedman a profité de l’occasion pour prêcher une homélie sur la mondialisation et dénoncer
“l’irresponsabilité” grecque.
Les flammes, le feu, le chômage de masse, le bradage des biens nationaux… tout cela allait engendrer, selon Friedman, une “régénération” de la Grèce et, au bout du compte, de toute la zone Euro.
Et par la même occasion, les Mundell et tous les autres propriétaires de villas pourraient enfin installer leur cuvettes de chiottes où bon leur semble.
Aujourd’hui, alors que tout le monde parle de “l’échec” de l’Euro, il est grand temps que comprendre que le bébé de Mundell, a en fait été un succès éclatant, probablement bien au-delà
rêves les plus fous de son créateur.
http://www.gregpalast.com/
Autres textes de Greg Palast sur Libertes-Internets :
https://libertesinternets.wordpress.com/category/observatoire-de-lempire/greg-palast/
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