Entraînement des rebelles, dépacement des rebelles, attaques chimiques sous fausse bannière, puis déplacement de navires, le gaz syrien se rapproche pour les USA...
Un gazoduc est en effet prévu, il partira de la Syrie pour passer par l'Egypte (en feu), la Libye (en feu), et la Tunsie (en feu), il remontera ensuite vers l'Italie.
Dans un second temps, il sera prolonger vers l'Algérie pour remonter vers l'Espagne.
La Syrie est le noeud du problème.
L'objectif final étant de libérer l'Europe du joug russie en matière de gaz, Poutine er Gazprom livrant 90% du gaz à l'Europe. C'est aussi pour cette raison que si les Etats-Unis devaient intervenir en Syrie, la Russie n'hésiterait pas non plus à montrer ses armes... (WS)
Le Pentagone mobilise actuellement des forces armées au cas où le président américain Barack Obama choisirait une intervention militaire contre la Syrie, a déclaré vendredi le ministre de la Défense Chuck Hagel.
Les responsables militaires américains ont préparé toute une série d'"options" pour M. Obama au cas où il déciderait d'une attaque contre le régime de Damas, a
déclaré M. Hagel à la presse à bord de l'avion qui l'emmène en Malaisie, alors que le régime syrien est soupçonné d'avoir utilisé des armes chimiques ayant fait un grand nombre de
victimes.
Un responsable américain de la défense a précisé à l'AFP que la Marine américaine a déployé en Méditerranée un quatrième destroyer équipé de missiles de
croisière.
La VIe flotte américaine, responsable de la Méditerranée, a décidé de laisser sur zone l'USS Mahan, qui devait initialement retourner à son port d'attache de
Norfolk sur la côte est américaine et être remplacé par l'USS Ramage.
Au total, quatre destroyers - le Gravely, le Barry, le Mahan et le Ramage- tous équipés de plusieurs dizaines de missiles de croisière Tomahawk, contre trois
habituellement, vont donc croiser en Méditerranée.
Ce renfort permet au Pentagone, qui a mis à jour ces plans d'action militaire en Syrie, d'agir plus rapidement si Barack Obama ordonnait une intervention. Un pas
que le président américain n'a pas franchi et contre lequel il n'a pas caché sa réticence lors d'un entretien vendredi sur CNN.
"Nous voyons des gens qui réclament une action immédiate. (Mais) se précipiter pour faire des choses qui tourneraient mal, nous embourber dans des situations très
difficiles, peut nous entraîner dans des interventions très compliquées et coûteuses qui ne feraient qu'alimenter encore le ressentiment dans la région", a argumenté Barack Obama.
Source via Wikistrike