Christophe Barbier journaliste à l'EXPRESS dit: "c'est le moment de rendre à la Grèce ce qu'elle
nous a apporté c'est a dire une gouvernance moderne" ou la soumission totale au FMI a la
communauté européenne et la BCE ou le fascisme européen et les vielles recettes du FMI:
- Politique d'austérité
- Privatisation des entreprises d'État : le but est soit d'élaguer les entreprises qui pèsent sur le budget de l'état par leurs déficits chroniques, soit de réaliser l'actif pour diminuer l'endettement pour les entreprises rentables
- Combat contre la corruption
- Non-discrimination de l'investissement : augmentation des droits des investisseurs étrangers
- Réformes visant à supprimer les entraves au développement économique
Critiques des conditionnalités
Les réformes préconisées par le FMI ont suscité des critiques, à la fois de la part des populations concernées (en Argentine, de la part de Nestor Kirchner, par exemple), aussi bien que de certains économistes néo-keynésiens (comme Joseph E. Stiglitz).
Les conséquences sociales sont généralement douloureuses pour les populations. Le FMI lui-même a reconnu quelques erreurs dans sa politique et entamé des réformes.
Si le FMI se défend de préconiser des politiques réduisant les dépenses sociales2, la perception par les populations est souvent bien différente3.
La dévaluation de la monnaie, autre mesure souvent préconisée par le FMI, est elle aussi souvent contestée4.
Les prêts de la troïka endetteront la Grece encore plus et iront directement aux banques sans aider le peuple.
Tout ça pour une dette illégitime puis ce que les banques prêtent de l'argent qui n'exsiste pas (ex nihilo) par
la réserve fractionnaire.