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29 août 2014 5 29 /08 /août /2014 16:24

 

Les premiers combattants français venus soutenir la résistance en Ukraine sont arrivés à Donetsk où ils ont été intégrés aux forces de la milice. Le service de presse de Novorossia a réalisé une interview de ces membres du groupe Unité Continentale. D’autres camarades devraient les rejoindre dans les semaines à venir. Il faut saluer l’engagement de volontaires français aux côtés de la résistance ukrainienne et contre l’impérialisme de l’OTAN et de l’UE.

 

Source : Lesmoutonsenragés

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19 août 2014 2 19 /08 /août /2014 16:24

 

Débat sur France 24 le 30/07, thème “Moscou sanctionnée par l’UE : Poutine peut-il plier ?”

Avec Xavier MOREAU Rédacteur pour Realpolitik TV et SURTOUT Pascale JOANNIN Directrice générale, fondation Robert Schuman.

Observez la bien, elle est extraordinaire – elle pourrait vraiment bosser au “CNRS”…

Elle dirige donc cette très influente association européiste, du nom de l’ancien ministre de Pétain, frappé d’indignité nationale en 1945, qui OUPS, je voulais dire le “père fondateur de l’Europe”.

On pourrait penser que, de bonne foi, quelqu’un professant l’Humanisme, et la volonte de Paix animant soit-disant le machin de Bruxelles, on aurait des propos mesurés, à la recherche de la vérité.

 

 

Source : Les-crises.fr

Article sur le même sujet

Enorme! Un intervenant balance tout sur les USA et l'UE en plein direct de France24

Enquete-debat.fr : L’Europe sans frontières, un projet initié par Hitler et financé par les Américains

Ajout :

Il n'y a pas de preuve que ce soit les pro-russes qui aient tiré le missile sur le vol MH17. Le fait que l'avion soit tombé sur le territoire pro-russe ne prouve rien, car un missile peut faire plusieurs milliers de kilomètres. Les américains n'ont jamais montré les fameuses preuves (images satellites).

Contrairement à ce que dit Madame Pascale JOANNIN, Les USA ont bien créé et financé l'Union Européenne. Robert Schuman était dans le coup. La preuve ici

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7 août 2014 4 07 /08 /août /2014 18:55

 

Le retour de flamme venant de la Russie est totalement justifier. Suite au coup d'état américano-européen en Ukraine (avec cinq milliards de dollars de fonds américains) par l'intermédiaire des ONG comme l'International Republican Institute, le National Democratic Institute, Freedom House, le National Endowment for Democracy,  pour renverser le gouvernement ukrainien démocratiquement élu et signer l'Accord d'Association de l'UE avec le gouvernement provisoire. Puis les sanctions économiques de niveau 3 contre la Russie. Voir aussi le false flag du vol MH17. Tout ça ici.

Voir aussi : [U4-3] EuroMaïdan : Le rôle des Américains et des Européens sur le site Les-crises.fr

 

Documentaire Les ÉtatsUnis a La Conquête de L'Est

 

Sources et vidéos sur la : RTBF

La Russie a décrété une "interdiction totale" de la plupart des produits alimentaires en provenance des pays d'Europe et des États-Unis en réponse aux sanctions occidentales à l'encontre de Moscou, a annoncé jeudi le Premier ministre russe Dmitri Medvedev.

 

Cette interdiction concerne les produits en provenance des États-Unis, de l'Union européenne, de l'Australie, du Canada et de la Norvège.

Une liste détaillée a été relayée sur le site du gouvernement russe. L'interdiction concerne ainsi "la viande bovine, de porc, la volaille sous forme fraîche, réfrigérée ou congelée. La viande salée, en saumure, séchée ou fumée. Les poissons, crustacés et mollusques. Le lait et les produits laitiers. Les légumes, les fruits et les fruits à coque. Les charcuteries, les saucisses et autres préparations à base de viande. Le fromage, ainsi que les produits préparés à partir de graisse végétale." L'embargo ne concerne pas l'alcool, a précisé le gouvernement russe.

Les aliments pour nourrissons sont épargnés, ainsi que les produits agroalimentaires achetés à l'étranger par les citoyens russes.

Par ailleurs, le Premier ministre russe a menacé de bloquer le survol du territoire russe pour les compagnies aériennes effectuant des liaisons entre l'Europe et l'Asie via la Sibérie, la route la plus courte, en réponse aux sanctions occidentales.

Dmitri Medvedev a indiqué que la fermeture de l'espace aérien russe pour ces liaisons, qui provoquerait pour les compagnies un important surcoût en carburant, était une "mesure grave", considérée comme une réponse à l'arrêt des activités du premier transporteur aérien à bas-coût russe, Dobrolet, provoquée par les sanctions occidentales.

 

L'interdiction pourra être levée...

L'interdiction pourra être levée si "nos partenaires font preuve d'une approche constructive", a déclaré Dmitri Medvedev.

"Nous avions espéré jusqu'au dernier moment que nos homologues étrangers comprendraient que des sanctions mèneront à une impasse", a expliqué le Premier ministre russe pour expliquer la réponse tardive de la Russie aux sanctions occidentales.

"Mais même dans ces conditions, nous sommes persuadés que nous arriverons à retourner la situation en notre faveur", a indiqué Dmitri Medvedev, promettant d'"empêcher la hausse des prix" et de "libérer les étals pour nos propres producteurs". "Une telle chance - une occasion unique d'ouvrir et de développer notre industrie destinée à la substitution des importations - ne peut être négligée", a-t-il ajouté.

Les experts ont estimé que des mesures protectionnistes provoqueraient une hausse du taux d'inflation en Russie (qui était le mois dernier de 7,8% sur un an), même si de telles mesures pourraient également favoriser les producteurs locaux.

"La rhétorique protectionniste de la Russie gagne en puissance", ont estimé les analystes de VTB Capital dans une note jeudi, ajoutant que les restrictions ont été jusqu'ici la "principale cause de la hausse des prix alimentaires en Russie".

L'UE se réserve le droit de prendre des mesures

"Après évaluation complète par la Commission européenne des mesures prises par la Fédération de Russie, nous nous réservons le droit de prendre les mesures appropriées", a affirmé Frédéric Vincent, un porte-parole de la Commission.

"Nous soulignons que les mesures restrictives prises par l'Union européenne sont directement liées à l'annexion illégale de la Crimée et à la déstabilisation de l'Ukraine", rappelle le porte-parole.

Quel impact ?

Avec l'Ukraine (avant la crise) et le Brésil, l'Allemagne et les Pays-Bas figuraient en 2013 parmi les principaux fournisseurs de la Russie, qui importe 35% de sa consommation alimentaire.

Ce pays absorbe ainsi 10% des exportations agricoles et agroalimentaires de l'UE, pour un montant de 11,8 milliards d'euros par an, selon Eurostat.

"La Russie est exportatrice de céréales mais fortement importatrice de légumes et fruits et de produits transformés tels la viande, les produits laitiers", a rappelé Xavier Beulin, patron du principal syndicat agricole français, la FNSEA.

Fruits frais, fromages, porcs ... représentent à chaque fois un volume d'affaires d'un milliard d'euros environ. Ce sont avec les légumes (770 millions) les marchandises qui manquent le plus aux tables russes et constituent les principales importations alimentaires d'Europe avec les vins et spiritueux (1,5 milliard euros).

Les pommes, les tomates et les pêches en particulier sont achetées chez les Européens qui traversent justement une grave crise cette saison, en raison d'un production abondante et hautement périssable qui se fait concurrence aux étals.

D'où un double effet probable que redoutent déjà les producteurs, résume le Français: "la Russie se ferme aux importations, mais les produits qui n'iront plus à l'exportation vont se rabattre sur les pays européens et créer une situation de crise", craint-il.

Selon le président de la fédération des producteurs de fruits français (FNPF), Luc Barbier, les "espagnols exportaient (en 2012) environ 100 000 tonnes de fruits vers l'Ukraine et la Russie: autant de quantité qui vont se rabattre sur le marché communautaire" prédit-il.

Italie, Espagne et France traversent déjà la guerre de la pêche nectarine avec des prix effondrés et "la catastrophe" se profile avec la pomme, annonce-t-il.

Les Français ont expédié pour près de 26 millions d'euros de fruits en Russie en 2012 selon M. Barbier.

"Mais cette année, la Pologne qui exportait beaucoup vers la Russie attend une récolte abondante qui va naturellement se reporter sur le marché intérieur" de l'UE.

Selon la Wapa, l'association mondiale des producteurs de pommes et de poires, la Pologne est de loin le plus gros producteur de pommes de l'Union (3,5 millions de tonnes attendues cette année) avec l'Italie (2,3 millions de t) et la France (1,5 million de t).

En viande bovine, le premier fournisseur de la Russie reste de loin le Brésil, devant les autres pays d'Amérique Latine et l'Amérique du Nord (soumise elle aussi aux sanctions pour les Etats-Unis).

La contribution de l'UE quant à elle était déjà en net recul depuis 2013 (moins de 50 000 tonnes équivalent carcasse contre 100.000 en 2011 selon l'Institut de l'élevage), en raison de restrictions sanitaires souvent comprises comme des "prétextes politiques", relève Guy Hermouet, vice-président de la Fédération nationale bovine chargé de l'exportation.

Ce sont principalement la Belgique, les Pays-Bas et l'Allemagne qui auront à pâtir de ce coup de frein, juge-t-il.

La Fédération belge de la viande parle d'ailleurs déjà de licenciements.

Le Danemark et les Pays-Bas seront les plus exposés pour les produits laitiers - la France qui a vendu l'an passé pour 119 millions d'euros de produits laitiers à la Russie représentait moins de 4% des importations du pays dans ce secteur.

Quant au porc, les exportations européennes ont été totalement suspendues par l'embargo russe décrété le 29 janvier au motif de la peste porcine, arguant de cas décelés sur des sangliers.

L'embargo, décrété dans un contexte déjà tendu sur l'Ukraine, est considéré comme "peu justifié" par l'Union qui a porté plainte en avril devant l'OMC, l'Organisation mondiale du commerce.

Avec AFP

Sources et vidéos sur la : RTBF

 

 
 

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31 juillet 2014 4 31 /07 /juillet /2014 15:50

 

Ca n’augure rien de bon, et si Poutine perd son sang froid on est dans la m*****………merci Le Veilleur.

C’est une information d’une très grande gravité dont seule la chaîne CNN a rendu compte.

Pour la première fois depuis le début de ce conflit, le gouvernement de Kiev, soutenu par l’Union Européenne et les Etats-Unis a lancé 4 missiles balistiques SS-21(*) susceptible de transporter rien de moins qu’une charge nucléaire!

Ces 4 missiles ont été abattu par les forces de défenses russes sans que l’on sache précisément comment ils ont été détruit.

Ces tirs ont provoqué le déploiements de l’armée russe qui a été à deux doigts de lancer une offensive de grande envergure sur l’Ukraine.

 

Nous jouons avec le feu, et le feu… ça brûle.

Cette information a bien été confirmé, mais les provocations des forces et alliés de l’OTAN ne fait pas la « une » de nos médias.

N’oubliez pas, « radio Paris ment… »

Charles SANNAT

Source Le Contrarien

Il n’y a pas que la chaîne CNN, RiaNovosti en parle aussi : http://fr.ria.ru/world/20140729/201977921.html

« Des missiles balistiques à courte portée sont employés par les troupes pro-Kiev qui mènent depuis le 15 avril une opération spéciale dans l’est du pays, a annoncé mardi la chaîne CNN, se référant à trois sources au sein du renseignement US. 

D’après les données de la chaîne, ces deux derniers jours, l’armée gouvernementale utilise des missiles dotés d’ogives de 454kg d’une portée de 89km. Il s’agit de l’arme la plus destructrice employée jusqu’à cette date au conflit, souligne la source. 

Les interlocuteurs de la chaîne ignorent où ces missiles sont tombés et quels dommages ils ont causé. 

Un représentant du renseignement américain a indiqué qu’il était peu probable que les Etats-Unis fournissent des clichés satellite prouvant ces tirs, les soldats ukrainiens étant « de bons gars ». Un autre interlocuteur de la chaîne a qualifié ces attaques d’ »escalade du conflit », tout en soulignant toutefois que l’Ukraine avait « le droit de se défendre ». 

Les autorités de Kiev mènent depuis le 15 avril une opération spéciale d’envergure visant à réprimer la révolte qui a éclaté dans le sud-est de l’Ukraine suite au renversement du régime du président Viktor Ianoukovitch le 22 février dernier. 

Les hostilités ont déjà fait plus d’un millier de morts parmi les civils et entraîné d’importantes destructions. La Russie qualifie cette opération de punitive et appelle les dirigeants ukrainiens à y mettre fin. Les Etats-Unis soutiennent l’opération spéciale de Kiev. »

 

(*) : Missile SS-21 (Scarab) le même mis en cause au début de l’affaire du vol MH-17, et qui curieusement à été mué en missile BUK par le gouvernement Ukrainien en premier (comme pour se disculper) et par les USA ensuite.

 

Source : Lesmoutonsenragés

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31 juillet 2014 4 31 /07 /juillet /2014 15:40

 

Voici en exclusivité, grâce à la mobilisation des lecteurs du blog, la traduction du très violent communiqué du Ministre des Affaires étrangères de la Russie de ce jour (il a 5 heures, non encore disponible en anglais…).

Bravo “l’Europe, la paix” !

Il est évident qu’en prenant des sanctions infamantes et humiliantes sans des preuves solides envers un grand pays, on a de sérieux retours de bâtons. Surtout quand on se décide à imposer des sanctions visant à déstabiliser gravement son économie. (Et quel sens du timing juste 100 ans après…)

Comme le souligne “Le Point” : “Les sanctions concernant le secteur financier sont celles qui auront le plus de conséquences macroéconomiques, avec un risque accru pour la croissance et une pression à la baisse qui va se poursuivre sur le cours du rouble”, a estimé la société d’investissement VTB Capital.

On peut remercier les “génies” comme le MAE suédois, Carl Bildt qui réagit :

30-07-2014

Commentaire du Ministère des Affaires étrangères de Russie en lien avec les nouvelles sanctions anti-russes, adoptées par l’Union européenne (Source)

Suite à la mise en place des sanctions antirusses du 29 juillet convenues par l’Union européenne, la Russie ne peut que constater l’absence évidente de volonté politique et de désir de cette Union à s’investir dans le règlement de la crise en Ukraine. L’UE, de son côté, ignore toujours aveuglément les causes du tragique développement des événements du Sud-Est de ce pays, où, dans le cadre de la prétendue « opération antiterroriste » du pouvoir de Kiev, des dizaines de citoyens pacifiques meurent chaque jour, et où des centaines de milliers d’habitants ont été contraints de devenir des réfugiés. Une région immense se trouve désormais au bord d’une catastrophe humanitaire de grande échelle.

L’ensemble des événements est en grande partie dû aux décisions irresponsables de l’Union européenne elle-même, qui se montre indulgente envers l’actuel gouvernement de Kiev. L’UE a en somme donné carte blanche à la « pacification » du pays, et démontre un lourd manque de scrupule politique en acceptant de facto de qualifier l’opération punitive de Kiev contre son propre peuple « d’approche modérée dans la conduite des opérations de rétablissement de la loi et de l’ordre ».

Nous avons honte pour l’Union européenne, qui après avoir longtemps cherché « à parler d’une seule voix », parle désormais de la voix de Washington et a pratiquement abandonné les valeurs européennes fondamentales, y compris la présomption d’innocence.

La politique de l’UE n’est plus fondée sur des faits vérifiés mais s’écrit sous la dictée de Washington, entre deux visionnages de vidéos “Youtube” douteuses. Moscou est déçu par l’incapacité de l’UE à jouer son propre rôle dans la politique mondiale.

L’UE est apparemment prête à sacrifier son économie pour permettre la réalisation d’enjeux géopolitiques équivoques, contraires à ses intérêts. Les économies russe et celle de l’UE sont étroitement liées et la « troisième vague » de sanctions qu’entreprend Bruxelles sera aussi fortement ressentie en Europe qu’en Russie. Il faut cependant souligner le zèle avec lequel certains pays européens soutiennent cette politique, qui est inversement proportionnelle aux conséquences sur leur bien-être.
Les citoyens des États membres de l’UE savent-ils ce qui résultera de ces jeux en termes de pertes d’emplois et de gains commerciaux ?

Nous tenons également à rappeler que des sanctions sectorielles sont en contradiction avec les normes de l’OMC.
Des mesures restrictives touchant les milieux financiers auront également des conséquences négatives pour les banques des États membres de l’Union européenne actives en Russie. Pourtant, certaines d’entre elles tirent à ce jour le plus grand profit de leurs filiales en activité dans notre pays.

Nous sommes consternés par la décision d’instaurer un embargo sur le commerce d’armes et d’équipements militaires avec la Russie. A la différence de Kiev pour qui, au contraire, ces limitations ont été levées dernièrement, la Russie ne prend pas part au conflit militaire.

Dans son empressement à introduire des sanctions, Bruxelles met de son propre chef des barrières à la collaboration avec la Russie, dans des domaines aussi cruciaux que l’énergie. Il s’agit là d’un mouvement irréfléchi et irresponsable qui aura pour conséquence une hausse des prix sur le marché européen de l’énergie.
Concernant les difficultés qui pourraient survenir dans certains secteurs de l’économie russe, elles seront assurément surmontées. L’efficacité et l’autosuffisance de notre économie s’en trouveront accrues.

Il va de soi que nous allons prendre en considération le comportement non constructif et non indépendant de l’Union européenne dans le futur développement de nos relations.

30 juillet 2014

Source : Les-crises.fr

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28 juillet 2014 1 28 /07 /juillet /2014 21:09

 

J’ai débattu le 22 juillet sur France 24 avec le député PS Pierre-Yves le Borgn’ - sujet : le MH17

 

 

Conclusion : on est bien parlementé, la Paix est en sécurité…

Précision : il accuse, “les Américains montreront les preuves demain” : ben, étrangement, aujourd’hui ils ont réitéré leurs accusations (de façon bien plus modérée) dans une “conférence de presse à huis clos” sans montrer LA MOINDRE preuve (“faites nous confiance…”). Du lourd, quoi…

Source : Les-crises.fr

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23 juillet 2014 3 23 /07 /juillet /2014 01:36

 

Cette actualité est comme toutes les actualités, ce dont nous disposons surtout, c’est de l’actualité officielle relayée par les médias du côté « Empire » (USA-Europe) et les médias russes, chacun relatant celle-ci en fonction des intérêts qui sont en jeu. Concrètement, au niveau géopolitique comme stratégique, pouvoir accuser Poutine et les séparatistes russes du tir du missile sol-air permettrait de justifier certaines décisions impossibles jusqu’alors puisque Poutine, en bon joueur d’échec, a évité au maximum les faux pas, et a mis en échec toutes les tentatives américaines.

Pour l’heure, nous ne savons pas réellement qui a provoqué le crash du vol MH-17, seules des suppositions peuvent être faites, cela n’empêche pas qu’il y a des rebondissements qui méritent d’être mis en avant, dont cette information trouvée par notre ami Guy Fawkes sur le très sérieux média financier en ligne Zero Hedge.

enregistrement SBU Cette fois, ils se sont grillés tout seuls. Zero Hedge révèle que les autorités ukrainiennes ont rendu public une vidéo qui impliquerait les séparatistes. Bien évidemment, la presse atlantiste s’en délecte déjà. Les autorités ukrainiennes auraient ainsi révélé aux journalistes une version éditée des cassettes audio sur lesquels auraient été enregistrées des conversations entre les rebelles séparatistes et le renseignement militaire russe à la suite de l’accident. 

Le gros problème c’est que cette vidéo, qui a été mise en ligne en premier le 18 juillet 2014 à 00h09 sur un site de partage de fichiers, a été crée…un jour avant, en l’occurrence le 16/07/2014 19:10:24 alors que le crash a eu lieu le 17/07/2014 vers 15H15: le coup classique du false flag mal ficelé en somme. C’est parfaitement impossible et montre que cet enregistrement est un faux. A partir de là, toutes leurs preuves tombent à l’eau. Ce n’est qu’une manipulation (assez grossière) de plus. Ils se sont rendu compte de leur bévue après coup, le fichier a été supprimé du site de partage mais trop tard, il avait déjà été vu 810 fois et uploadé sur Youtube.

Les ukrainiens ont probablement voulu faire comme les russes qui avaient révélé plusieurs conversations compromettantes notamment celle de Victoria Nuland qui impliquait clairement les Etats-Unis dans le conflit. En tout cas, ce nouvel élément contredit le fait que les ukrainiens aient voulu descendre l’avion présidentiel de Poutine comme cela a été évoqué car ce false flag a visiblement été préparé à l’avance pour incriminer les russes et les rebelles. De plus les chances, pour que Poutine soit passé au dessus de la zone de conflit sont très faibles. Ce serait suicidaire de sa part car il sait très bien que l’Ukraine a les moyens d’abattre son avion. Tout porte à croire que le but de cette opération était d’impliquer définitivement la Russie comme étant une aide à ceux qu’ils considèrent comme des terroristes.

Source+vidéo: Fawkes-news.blogspot.fr

Source : Lesmoutonsenragés

Article plus complet

La RTBF montre aussi cette bande sonore soit-disant authentifier par les services américains. Ici à 25 minutes

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20 juin 2014 5 20 /06 /juin /2014 10:37

Documentaire Les États-Unis a La Conquête de L'Est.


Etats-Unis à la conquête de l'Est... par non-merci

 

Ukraine : révolution orange acte 2

 

 ONGs au service de la guerre et de l'Empire (Truthseeker Ep35)


ONGs au service de la guerre et de l'Empire... par gregosdenantes

 

La deuxième révolution ukrainienne

 

ZDF - "Le Putsch en Ukraine financé par les USA" - DIE ANSTALT


ZDF - "Le Putsch en Ukraine financé par les... par les-crises

 

 

Les printemps arabes avec les mêmes organisations : International Republican Institute, National Democratic Institute, Freedom House, National Endowment for Democracy.

L'article est ici.

 

U.S. Groups Helped Nurture Arab Uprisings

(Page 1 of 2)

WASHINGTON — Even as the United States poured billions of dollars into foreign military programs and anti-terrorism campaigns, a small core of American government-financed organizations were promoting democracy in authoritarian Arab states.

 

The money spent on these programs was minute compared with efforts led by the Pentagon. But as American officials and others look back at the uprisings of the Arab Spring, they are seeing that the United States’ democracy-building campaigns played a bigger role in fomenting protests than was previously known, with key leaders of the movements having been trained by the Americans in campaigning, organizing through new media tools and monitoring elections.

A number of the groups and individuals directly involved in the revolts and reforms sweeping the region, including the April 6 Youth Movement in Egypt, the Bahrain Center for Human Rights and grass-roots activists like Entsar Qadhi, a youth leader in Yemen, received training and financing from groups like the International Republican Institute, the National Democratic Institute and Freedom House, a nonprofit human rights organization based in Washington, according to interviews in recent weeks and American diplomatic cables obtained by WikiLeaks.

The work of these groups often provoked tensions between the United States and many Middle Eastern leaders, who frequently complained that their leadership was being undermined, according to the cables.

The Republican and Democratic institutes are loosely affiliated with the Republican and Democratic Parties. They were created by Congress and are financed through the National Endowment for Democracy, which was set up in 1983 to channel grants for promoting democracy in developing nations. The National Endowment receives about $100 million annually from Congress. Freedom House also gets the bulk of its money from the American government, mainly from the State Department.

No one doubts that the Arab uprisings are home grown, rather than resulting from “foreign influence,” as alleged by some Middle Eastern leaders.

“We didn’t fund them to start protests, but we did help support their development of skills and networking,” said Stephen McInerney, executive director of the Project on Middle East Democracy, a Washington-based advocacy and research group. “That training did play a role in what ultimately happened, but it was their revolution. We didn’t start it.”

Some Egyptian youth leaders attended a 2008 technology meeting in New York, where they were taught to use social networking and mobile technologies to promote democracy. Among those sponsoring the meeting were Facebook, Google, MTV, Columbia Law School and the State Department.

“We learned how to organize and build coalitions,” said Bashem Fathy, a founder of the youth movement that ultimately drove the Egyptian uprisings. Mr. Fathy, who attended training with Freedom House, said, “This certainly helped during the revolution.”

Ms. Qadhi, the Yemeni youth activist, attended American training sessions in Yemen.

“It helped me very much because I used to think that change only takes place by force and by weapons,” she said.

But now, she said, it is clear that results can be achieved with peaceful protests and other nonviolent means.

But some members of the activist groups complained in interviews that the United States was hypocritical for helping them at the same time that it was supporting the governments they sought to change.

“While we appreciated the training we received through the NGOs sponsored by the U.S. government, and it did help us in our struggles, we are also aware that the same government also trained the state security investigative service, which was responsible for the harassment and jailing of many of us,” said Mr. Fathy, the Egyptian activist.

Interviews with officials of the nongovernmental groups and a review of diplomatic cables obtained by WikiLeaks show that the democracy programs were constant sources of tension between the United States and many Arab governments.

The cables, in particular, show how leaders in the Middle East and North Africa viewed these groups with deep suspicion, and tried to weaken them. Today the work of these groups is among the reasons that governments in turmoil claim that Western meddling was behind the uprisings, with some officials noting that leaders like Ms. Qadhi were trained and financed by the United States.

Diplomatic cables report how American officials frequently assured skeptical governments that the training was aimed at reform, not promoting revolutions.

Last year, for example, a few months before national elections in Bahrain, officials there barred a representative of the National Democratic Institute from entering the country.

In Bahrain, officials worried that the group’s political training “disproportionately benefited the opposition,” according to a January 2010 cable.

In Yemen, where the United States has been spending millions on an anti-terrorism program, officials complained that American efforts to promote democracy amounted to “interference in internal Yemeni affairs.”

But nowhere was the opposition to the American groups stronger than in Egypt.

Egypt, whose government receives $1.5 billion annually in military and economic aid from the United States, viewed efforts to promote political change with deep suspicion, even outrage.

Hosni Mubarak, then Egypt’s president, was “deeply skeptical of the U.S. role in democracy promotion,” said a diplomatic cable from the United States Embassy in Cairo dated Oct. 9, 2007.

At one time the United States financed political reform groups by channeling money through the Egyptian government.

But in 2005, under a Bush administration initiative, local groups were given direct grants, much to the chagrin of Egyptian officials.

 

(Page 2 of 2)

 

According to a September 2006 cable, Mahmoud Nayel, an official with the Egyptian Ministry of Foreign Affairs, complained to American Embassy officials about the United States government’s “arrogant tactics in promoting reform in Egypt.”

 

The main targets of the Egyptian complaints were the Republican and Democratic institutes. Diplomatic cables show that Egyptian officials complained that the United States was providing support for “illegal organizations.”

Gamal Mubarak, the former president’s son, is described in an Oct. 20, 2008, cable as “irritable about direct U.S. democracy and governance funding of Egyptian NGOs.”

The Egyptian government even appealed to groups like Freedom House to stop working with local political activists and human rights groups.

“They were constantly saying: ‘Why are you working with those groups, they are nothing. All they have are slogans,’ ” said Sherif Mansour, an Egyptian activist and a senior program officer for the Middle East and North Africa at Freedom House.

When their appeals to the United States government failed, the Egyptian authorities reacted by restricting the activities of the American nonprofit organizations.

Hotels that were to host training sessions were closed for renovations. Staff members of the groups were followed, and local activists were intimidated and jailed. State-owned newspapers accused activists of receiving money from American intelligence agencies.

Affiliating themselves with the American organizations may have tainted leaders within their own groups. According to one diplomatic cable, leaders of the April 6 Youth Movement in Egypt told the American Embassy in 2009 that some members of the group had accused Ahmed Maher, a leader of the January uprising, and other leaders of “treason” in a mock trial related to their association with Freedom House, which more militant members of the movement described as a “Zionist organization.”

A prominent blogger, according to a cable, threatened to post the information about the movement leaders’ links to Freedom House on his blog.

There is no evidence that this ever happened, and a later cable shows that the group ousted the members who were complaining about Mr. Maher and other leaders.

In the face of government opposition, some groups moved their training sessions to friendlier countries like Jordan or Morocco. They also sent activists to the United States for training.

Source : New york times

 

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18 mai 2014 7 18 /05 /mai /2014 00:10

 

Si la vidéo ne fonctionne pas cliquez ici (youtube).


 

Site officiel

Page Wikipédia

 

Des mercenaires américains aux côtés des troupes ukrainiennes

Des mercenaires de la firme Academi, plus connue... (PHOTO ARCHIVES ASSOCIATED PRESS)

Agrandir

Des mercenaires de la firme Academi, plus connue sous son ancien nom de Blackwater, oeuvrant en Irak, en 2004.

PHOTO ARCHIVES ASSOCIATED PRESS

 

Environ 400 mercenaires d'une entreprise américaine opèrent en Ukraine aux côtés des soldats et de la police ukrainienne dans des opérations contre les séparatistes prorusses, affirme le journal allemand Bild am Sonntag (BamS).

Selon des informations, basées sur des communications radio entre des centres de commandement de l'armée russe, interceptées par l'agence de surveillance américaine NSA et transmises ensuite aux services secrets allemands (BND), les mercenaires américains coordonnent et dirigent des opérations de guérilla contre les séparatistes prorusses autour de l'enclave de Slaviansk.

Ces 400 mercenaires travaillent pour Academi, plus connu sous son ancien nom de Blackwater, une entreprise de sécurité qui avait été privée de contrat par l'armée américaine en Irak après une fusillade sur des civils en 2007, précise le BamS.

Le journal précise toutefois ne pas savoir qui a passé le contrat avec Academi.

 

Le BamS rappelle que la Russie avait dénoncé il y a quelques semaines la présence de mercenaires américains aux côtés des troupes gouvernementales ukrainiennes, ce que l'ambassadeur américain à Kiev, Geoffrey Pyatt avait démenti mi-mars.

La semaine dernière, le BamS avait déjà révélé que agents de la CIA et du FBI aidaient Kiev à mettre un terme à la rébellion dans l'est de l'Ukraine et à mettre en place un dispositif de sécurité efficace, sans toutefois s'engager directement dans les affrontements.

Source : La presse.ca

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14 mai 2014 3 14 /05 /mai /2014 15:51

J’ai réalisée la semaine passée une vidéo sur l’actualité…

Interview par Franck Zed et Baptiste pour le Cercle des Volontaires. (NB. Merci pour le titre ! :) )

Partie 1 : Pacte de stabilité et TAFTA

 

 

Partie 2 : Analyse de la crise ukrainienne

 

 

  

Source : Les-crises.fr

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Présentation

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  • : Depuis cinq ans je suis l'actualité sur le nouvel ordre mondial, le 11 septembre, la crise de la dette, les Young Leaders de la French-American Foundation. J'essaie de rassembler tout sur mon blog.
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  • J'ai fait ce blog par révolte sur le systeme financier, la création monétaire par le crédit, la reserve fractionnaire. La BCE prête notre argent à 0,05% au banques privées et elles le prêtent aux états à 3, 4, 5, 6, 7, 8...% donc à nous.
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