Les banques prêtent dix fois leurs fonds propres selon les accords de Bâle 3 (réserve fractionnaire). Pour régler le problème de la dette publique, les banques ne recevraient des intérêts que sur l’argent réellement prêté de leurs fonds propres et pas sur les 9/10ème venant des dépôts des clients. Ainsi les états paieraient dix fois moins d’intérêts sur les sommes empruntées pour leur budget (réduction de la dette publique) et les banques serait incitées à augmenté leurs fonds pour recevoir plus d’intérêts donc plus de sureté bancaire.
Article de Philip Dru