Blythe Masters de chez JP Morgan dit que les banques sont les parties principales dans le combat du réchauffement climatique. Autrement dit ce n'est que des histoires d'argent et pas d'écologie. "Carbonne Capitaliste"
Voila pourquoi Al Gore avait sorti le film (une vérité qui dérange) en 2007:
L’International Continental Exchange (ICE) créé en 2000 par des banquiers internationaux autour de Goldman Sachs et de compagnies pétrolières comme Shell et BP dominent les marchés à terme du gaz et du pétrole. ICE a acheté l’International Petroleum Exchange (IPE) de Londres qui est un marché opaque et pratiquement dérégulé sans qu’aucun registre sur les échanges ne soit tenu. Bien que le siège d’ICE soit à Atlanta, la société opère à partir de Londres sous la forme d’un centre financier offshore. ICE contrôle de fait le Chicago Climate Exchange (CCX) et sa filiale londonienne, le London Climate Exchange (LCX).Un des associés et fondateurs de l’ICE, Mr. Richard Sandor est l’inventeur des produits dérivés et des droits d’émissions échangeables sur le CO2. Goldman Sachs est de son côté le plus gros actionnaire de CCX et le numéro deux de ICE. Or c’est Goldman Sachs qui a lancé Al Gore dans le business des Hedge Funds lorsqu’en 2003, Mr. David Bloom, ancien CEO de Goldman Sachs Assets Management a constitué « General Investment Management » avec Al Gore et deux anciens associés de GS. En Europe, Mr. Yann Arthus-Bertrand est un protégé de la famille Pinault et Nicolas Hulot est sponsorisé par Bouygues et TF1 mais ils font petit jeu comparé à l’ensemble. du dispositif de la mondialisation financière des droits d’émission.
Source: http://www.mecanopolis.org/?p=12049
L'arnaque à la taxe carbone découle des mensonges de l'ONU du GIEC et du Club De Rome.
Preuves du mensonge sur le réchauffement climatique, venant de wikileaks sur les échanges d'Email du "Climatic Research Unit at the University of East Anglia" d'Angleterre.
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Quand l’escroquerie à la taxe carbone finance le trafic de drogue.
“Cette escroquerie à la taxe carbone, c’était couru d’avance !”
Le marché visé est celui des échanges de quotas du CO2 institué par le protocole de Kyoto et mis en œuvre à partir de 2005. Afin de limiter les émissions industrielles de dioxyde de carbone, le dispositif a alloué gratuitement aux entreprises des permis d’émettre du CO2, mais en quantité limitée. En cas de dépassement de ces quotas, elles peuvent acheter des droits aux sociétés moins polluantes et qui disposent donc de permis d’émettre en excédent. Ce gigantesque marché de la taxe carbone est actuellement infiltré par la criminalité organisée, qui a rapidement compris le parti à tirer d’une fraude à la TVA. Par l’intermédiaire de sociétés basées à l’étranger, les escrocs achètent hors-taxes des droits à émettre, qu’ils revendent en France TVA incluse. Une fois la vente conclue, les escrocs disparaissent dans la nature sans avoir reversé le montant de la taxe au fisc !
“Cette histoire d’escroquerie à la taxe carbone, c’était couru d’avance ! Il était évident que le banditisme allait se précipiter sur ce type de trafic !”, déplore, fataliste, un magistrat rhônalpin, qui fustige “l’imprévoyance du législateur”.
La semaine dernière, un important dossier de ce type est d’ailleurs venu devant le tribunal correctionnel de Paris : selon le parquet, qui a requis sept ans d’emprisonnement pour le principal prévenu, le montant de l’arnaque réalisée par cette équipe serait de 43 millions d’euros…
Affaire Neyret : le cas Alzraa
En marge de ce dossier parisien apparaît le nom d’un escroc lyonnais présumé : celui de Stéphane Alzraa, “ami“ de Michel Neyret, le n° 2 de la DIPJ de Lyon écroué à la Santé depuis deux semaines. Mis en examen pour corruption et trafic d’influence, Stéphane Alzraa a également été écroué dans l’affaire Neyret. Suspecté (avec un autre suspect, son cousin Gilles Bénichou), d’avoir été protégé et informé par Michel Neyret en échange de renseignements et de “services” tels que le prêt de voitures de luxe ou le paiement de voyages au Maroc, l’homme n’a pas vraiment le profil du “baltringue”. Car lui et Bénichou (dont l’oncle était un indic’ de Neyret), sont soupçonnés d’être en relation très étroite avec le grand banditisme, et notamment des trafiquants de drogue internationaux. Réinvestir les gains faramineux de l’escroquerie à la taxe carbone dans de grosses commandes de stupéfiants : lorsque l’on possède les “bons” réseaux au sein de la pègre, la manœuvre peut s’avérer très rentable.
“Entre escrocs et trafiquants qui ont fait leurs preuves, des contacts s’établissent"
Car, à un certain niveau, tout le monde se connaît dans le Milieu. “Il s’agit, si j’ose dire, d’un ensemble de compétences transversales, qui captent, analysent et échangent des informations sur les opportunités du moment, par exemple dans le domaine de l’escroquerie, où les risques encourus sont faibles et la rentabilité très forte”, analyse Thierry Colombié, spécialiste de la criminalité organisée en France. Selon lui, le réinvestissement des produits de l’escroquerie dans les stupéfiants ou dans d’autres secteurs lucratifs n’est pas une pratique marginale : “Escrocs et trafiquants, quand ils ne cumulent pas les deux fonctions, sont toujours en contact. Un escroc qui dispose d’un gros volume de cash peut prendre une participation dans une commande de drogue. Sur des volumes importants, de l’ordre de la tonne de cocaïne par exemple, il n’y a en général pas d’entourloupe. Tout le monde a intérêt à ce que l’association réalise des profits et perdure. Arnaquer un associé, c’est déclencher une guerre, attirer l’attention des policiers, en somme faire capoter l’entreprise !
Pour plus d'informations:
http://www.leparisien.fr/faits-divers/mortelles-arnaques-a-la-taxe-carbone-13-01-2012-1809752.php